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Les données des Ve, VIe, XIIe, XIIIe et XIVe siècles et des années 980, 1140, 1248 et 1253 proviennent de l’ouvrage de Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque, PyréMonde (ISBN2 84618 230 2), p. 24. Celles des années 1063, 1122, 1130, 1160 et 1198 sont issues de l’ouvrage de Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN2867813964 et 9782867813962, OCLC72757865, BNF40190262, présentation en ligne), p. 26.
Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN2867813964 et 9782867813962, OCLC72757865, BNF40190262, présentation en ligne), p. 26 : « Au début du XIIe siècle le pèlerin Aimeri Picaud écrit […] que "la terre des Basques a sa ville Bayonne en bord de mer", tellus basclorum habens urbem baionam in maritime (1140) ».
Selon Eugène Goyheneche, Le Pays basque : Soule, Labourd, Basse-Navarre, Société nouvelle d’éditions régionales et de diffusion, Pau, (BNF34647711), l’enceinte romaine, en grande partie encore visible, représente un polygone de 1 125 mètres de périmètre, d’une superficie de 6 à 9 hectares.
Le vicomte résidait au Chatelet (lou Castet), constitué par la porte des Cinq-Cantons actuelle, qui est la porte romaine donnant vers le port (source : Eugène Goyheneche, Le Pays basque : Soule, Labourd, Basse-Navarre, Société nouvelle d’éditions régionales et de diffusion, Pau, (BNF34647711).
Le , Jean sans Terre octroie à Bayonne la personnalité juridique qui perdurera durant tout le Moyen Âge, et dans une certaine mesure, jusqu’à la Révolution française, sous la forme d’une charte de commune semblable à celle de La Rochelle. Selon Eugène Goyheneche, « la ville est gouvernée par les Cent Pairs qui en réalité se décomposent en un maire, douze échevins, douze conseillers et soixante-quinze pairs qui se cooptent et proposent chaque année le maire au choix du roi. Le maire a des pouvoirs administratifs, judiciaires, militaires ; il a la garde des clés de la ville, et certains maires seront amiraux de la flotte bayonnaise. Le roi est représenté par un prévôt » (source : Eugène Goyheneche, Le Pays basque : Soule, Labourd, Basse-Navarre, Société nouvelle d’éditions régionales et de diffusion, Pau, (BNF34647711).
On retiendra par exemple la participation d'une flotte bayonnaise au siège de Calais mené par les Anglais en 1346, forte de 15 vaisseaux et de 439 hommes (source : Eugène Goyheneche, Le Pays basque : Soule, Labourd, Basse-Navarre, Société nouvelle d’éditions régionales et de diffusion, Pau, (BNF34647711), p. 163.
Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque : Préhistoire, époque romaine, Moyen Âge, t. 1, Donostia et Bayonne, Elkarlanean, , 492 p. (ISBN2-913156-20-7, BNF37031711), p. 134.
Eugène Goyheneche, Notre terre basque, Pau, Société nouvelle d’éditions régionales et de diffusion, (BNF33028848), p. 93.
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Deux foires annuelles, l’une le premier jour du carême et l’autre le 1er août : « […] leur octroyer à perpétuité des foires franches de toutes aydes, imposicions, impostz et de tous autres subsides quelxconques, dont l’une se tiendra le premier jour de karesme, et l’autre le premier jour d’aoust […] », selon « les lettres patentes », sur books.google.fr de Louis XI établies à Montferrand en mai 1462.
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« Bayonne : l'ancien maire Jean Grenet est mort : Jean Grenet a été maire de Bayonne pendant 19 ans, de 1995 à 2014. Il a également été conseiller général, régional et député. Il est décédé ce mardi matin à 81 ans », La République des Pyrénées, (lire en ligne, consulté le ).
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Registres gascons, tome 1, pages 44, 53, 141, 154, 158-159, 195 et 233 — cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 42-43.
Ferdinand Barbe, Les Épidémies de peste à Bayonne au XVIe siècle, Bulletin de la Société des sciences et lettres de Bayonne, — cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 42.
Louis de Froidour, Mémoires du Pays de Soule, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 203-204.
xunta.gal
toponimia.xunta.gal
« El sminario de onomástica responde : Baiona » in Toponimia de Galicia (vidéo en ligne sur YouTube) [2]