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De nombreuses études avancent des hypothèses concernant les facteurs susceptibles d'attirer les chauves-souris aux abords des éoliennes : facteurs d'attraction « directe » (ressemblance des éoliennes avec les arbres, assimilation à un gîte…), facteurs d'attraction « indirecte » (terrain de chasse favorable pour capturer des insectes qui s'agglomèrent en haut de ces structures, selon un comportement appelé sommitisme(en)). Cf (en) Paul M. Cryan, Robert M. R. Barclay, « Causes of Bat Fatalities at Wind Turbines: Hypotheses and Predictions », Journal of Mammalogy, vol. 90, no 6, , p. 1330–1340 (DOI10.1644/09-MAMM-S-076R1.1).
Les deux principales causes de mortalité sont la collision et le barotraumatisme. Les oiseaux ne sont victimes que de collisions, et dans une proportion plus grande que les chauves-souris dont le sonar permet de détecter les pales. Lorsque le vent fait 40 % (vitesse à laquelle la noctule est capable de voler), les éoliennes tournent parfois à près de quatorze tours par minute, impliquant des vitesses de rotation en bout de pale de plus de 300 kilomètres à l'heure. La noctule subit un barotraumatisme, c'est-à-dire que la pression de l'air arrivant sur elle fait imploser ses viscères instantanément, comme les autopsies le révèlent. Cf (en) Erin F. Baerwald, Genevieve H. D'Amours, Brandon J. Klug, Robert M.R. Barclay, « Barotrauma is a significant cause of bat fatalities at wind turbines », Current Biology, vol. 18, no 16, , p. 695-696, (en) Michael Lawson, Dale Jenne, Robert Thresher, Daniel Houck, Jeffrey Wimsatt, Bethany Straw, « An investigation into the potential for wind turbines to cause barotrauma in bats », Plos One, vol. 15, no 12, (DOI10.1371/journal.pone.0242485).
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En Europe le risque d'attraper la rage par morsure, léchage ou griffure est minime : en un peu plus d'un quart de siècle, seules 8 personnes ont été ainsi contaminées entre 1977 et 2003 (3 en Ukraine, 2 en Russie, 1 en Finlande, 1 en Lettonie et 1 en Angleterre) - Information sur les chauves-souris par l'Institut Scientifique de Santé Publique (I.S.P.), Section Épidémiologie, en collaboration avec l'Institut Scientifique de Santé Publique (I.S.P.), Section Rage & Parasitologie et la Communauté française de Belgique - Direction Générale de la Santé (mise à jour : )- Page consultée en .
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Les fréquences des ondes ultrasonores sont comprises entre 15 000 et 150 000 Hz (hertz) alors que celles de la voix humaine sont comprises entre 125 et 210 Hz. L’oreille humaine perçoit en principe les sons entre 20 Hz et 20 000 Hz mais avec l’âge croissant l’audition des fréquences supérieures à 12 000 Hz diminue. Cf champ auditif de quelques espèces animales.
researchgate.net
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De nombreuses études avancent des hypothèses concernant les facteurs susceptibles d'attirer les chauves-souris aux abords des éoliennes : facteurs d'attraction « directe » (ressemblance des éoliennes avec les arbres, assimilation à un gîte…), facteurs d'attraction « indirecte » (terrain de chasse favorable pour capturer des insectes qui s'agglomèrent en haut de ces structures, selon un comportement appelé sommitisme(en)). Cf (en) Paul M. Cryan, Robert M. R. Barclay, « Causes of Bat Fatalities at Wind Turbines: Hypotheses and Predictions », Journal of Mammalogy, vol. 90, no 6, , p. 1330–1340 (DOI10.1644/09-MAMM-S-076R1.1).
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wiktionary.org
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La famille lexicale du mot latin căvannus est, selon certaines sources[27] reliée à celle de l'adjectif et substantif latin căvus signifiant « creux » ou « trou », et que l'on retrouve en français dans les mots « cave », « caverne », « caveau », « excavation » ou « cavité ». Tous ces mots sont issus de la racine indo-européenne commune *ƙeu-[28] (« enfler, arrondir »), qu'on retrouve aussi dans « enceinte », « cumuler », « comble ». Et l'on sait que la chauve-souris affectionne surtout les grottes, les combles ou les greniers comme habitat, plus que la chouette en tout cas à laquelle ses mœurs l'ont fait comparer. Toujours est-il que le vieux-francique *cawa, le gaulois *cauannos, le grec ancien κικκάβη ("kikkabê") et le latin căvannus[29] (signifiant selon le cas : chouette hulotte ou hibou) seraient tous en revanche plus certainement issus d'une autre racine indo-européenne commune : *kău ou *kaw- (« hurler »)[30], racine qu'on retrouve aussi dans les mots français « chat-huant » et « chouan ».
En chinois, la prononciation de « chauve-souris », « 蝠 » (fú) est identique à celle de « 福 » (fú) « bonheur, chance, prospérité ». Voir Fondation Baur, Musée des arts d’Extrême-Orient Bestiaire chinois, p.4, ainsi que Wiktionnaire 蝠 et 福.
wiley.com
onlinelibrary.wiley.com
(en) Lanna Cheng et H. Hashimoto, « The marine midge Pontomyia (Chironomidae) with a description of females of P.oceana Tokunaga », Systematic Entomology, vol. 3, no 3, , p. 189–196 (DOI10.1111/j.1365-3113.1978.tb00115.x, résumé).
(en) Chelmala Srinivasulu & Sanjay Molur du CCINSA [Chiroptera Conservation and Information Network of South Asia (« Réseau de Conservation et d'Information sur les Chiroptères d'Asie du Sud »)], « BATS DON’T CAUSE OR SPREAD COVID-19 » [« Les chauves-souris ne causent ni ne propagent la Covid-19 »], sur Zoo’s Print, Zoo Reach.org, (consulté le ). Plusieurs arguments et références de cet article sont repris en français dans l'article suivant : natagora "La nature avec vous", « Chauve-souris et coronavirus : démêler le vrai du faux », sur natagora.be, (consulté le ).