D.Hilbert. Die Grundlagen der Physik. Nachr. Ges. Wiss. Göttingen. 3,395 (1915). D'après l'article How Were the Hilbert--Einstein Equations Discovered ? de A. A. Logunov, M. A. Mestvirishvili et V. A. Petrov, publié dans Phys.Usp. 47 (2004) 607-621; Usp.Fiz.Nauk 174 (2004) 663-678[3]
Estelle Asmodelle, « The collaboration of Mileva Maric and Albert Einstein », arXiv:1503.08020 [physics], (lire en ligne, consulté le )
« Aussi les effets paradoxaux liés à la relativisation de la notion de simultanéité entre événements distants ne sont-ils jamais directement en cause, pas plus que ne l'est la relativité de la simultanéité elle-même, dans les conditions définies par le physicien. C'est l'interprétation spontanément réaliste de ces effets en termes de durées déphasées qui est problématique ; c'est sur elle que se concentre l'essentiel de la critique bergsonienne. Ceux qui considèrent qu'une telle interprétation fait partie intégrante de la théorie auront sans doute du mal à admettre ce point. C'est pourtant à faire sentir le jeu entre la théorie et ses interprétations que s'emploie constamment Bergson. » http://www.ciepfc.fr/spip.php?article28. Voir également Jean-Marc Lévy-Leblond, Le boulet d'Einstein et les boulettes de Bergson, Annales bergsoniennes, III, 2007.
Renn J. et Stachel J., « Hilbert's Foundation of Physics: From a Theory of Everything to a Constituent of General Relativity », dans Janssen M., Norton J.D., Renn J., Sauer T., Stachel J., The Genesis of General Relativity, vol. 250, Dordrecht, Springer, (DOIhttps://doi.org/10.1007/978-1-4020-4000-9_41, lire en ligne). Dans cet article, les auteurs citent la lettre de Hilbert à Einstein, du 13 novembre 1915, où celui-ci écrit « meine Th. » qui peut aussi bien signifier « ma thèse » que « ma théorie ».
Georges Lochak, Finalement, qui a découvert la Relativité ? Einstein ou Poincaré ? Einstein bien sûr et personne d’autre !, Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 30, n°2, 2005.
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erudit.org
La structure de la synthèse est inspirée de celle présente dans l'article Le conventionnalisme, conséquence de l'intuitionnisme E. Audureau 2004, p. 81 [2]
G. H. (1965-6) Origin and Concept of Relativity, Parts I, II, III, Br. J. Philos. Sci., v15-17. British Journal for the Philosophy of Science, (ISSN0007-0882).
Renn J. et Stachel J., « Hilbert's Foundation of Physics: From a Theory of Everything to a Constituent of General Relativity », dans Janssen M., Norton J.D., Renn J., Sauer T., Stachel J., The Genesis of General Relativity, vol. 250, Dordrecht, Springer, (DOIhttps://doi.org/10.1007/978-1-4020-4000-9_41, lire en ligne). Dans cet article, les auteurs citent la lettre de Hilbert à Einstein, du 13 novembre 1915, où celui-ci écrit « meine Th. » qui peut aussi bien signifier « ma thèse » que « ma théorie ».