Premier enregistrement en 1955 par Gracia Montes, dans le style copla, avec orchestre : ▶(es) Francisco de Val, interprétation par Gracia Montes, « ¿Será una rosa? » [« Ce sera une rose ? »], sur YouTube, (consulté le ). Version rééditée en 2002 en CD de compilation consacré aux Grandes de la copla, Gracia Montes : ▶Gracia Montes, « ¿Será una rosa? », sur YouTube, Calé Records (n° cat. : CAL 10367?), 1955/2002 (consulté le ). Deuxième enregistrement en 1967 par Gracia Montes, dans un style plus flamenco de canción-rumba, accompagnée à la guitare par Rafael Castellón et “El Noy”, et avec palmas : ▶(es) Francisco de Val / Gracia Montes, « ¿Será una rosa? », . Et la version d'Estrellita de Palma : ▶Estrellita de Palma, « ¿Será una rosa? », sur Discogs, Regal, EMI (n° cat. : J 040-20.783), (consulté le ). Réédition en CD de compilation, dans la série Raíces De La Canción Española (Vol. 36 : Antología II) (« Racines de la chanson espagnole (vol. 36 : anthologie II ») : ▶Estrellita de Palma, « ¿Será una rosa? », sur Discogs, Calé Records (n° cat. : CD104), (consulté le ).
Ce n'est pas Estrellita qui a écrit cette chanson de Campanera (composée par Camilo Murillo, Francisco Naranjo et Genaro Monreal), ni ne l'a enregistrée pour la première fois, mais c'est elle qui l'a rendue célèbre (et réciproquement). On pourra l'écouter ici : ▶ (es) Estrellita de Palma, « Campanera », sur YouTube (consulté le ), et ici : ▶ (es) Estrellita de Palma, « Campanera (Pasodoble) », sur YouTube (consulté le ). Et consulter ses paroles ici : ▶ (es) Diana Navarro, « Campanera », sur letras.com (consulté le ).
lexico.com
Le bayón est une « danse populaire originaire d'Amérique du Sud, de rythme vif et joyeux, qui a été à la mode en Espagne dans les années 1950 et 1960 ». Notre traduction du : (es + en) Oxford English and Spanish Dictionary (« Dictionnaire "Oxford" Anglais/Espagnol »), « bayón », sur lexico.com (consulté le ).
rae.es
dle.rae.es
En espagnol, le mot campanera est le féminin de campanero soit le sonneur (de cloches), et l'on pourrait traduire par « la sonneuse », mais en français le féminin, quoiqu'attesté, est peu usité en ce sens ; employé absolument la « sonneuse » désigne plutôt une musicienne d'instrument à vent qu'une sonneuse de cloche (à la différence de « sonneur ») ; on pourrait alors plutôt traduire par « carillonneuse ». Le mot peut désigner aussi le forgeron fondeur de cloches. Pour le mot espagnol, voir le : (es) Diccionario de la Lengua Española de la Real Academia de España, « Campanero, -ra », sur dle.rae.es, (consulté le ).
reminiscenciasdelacopla.blogspot.ch
NB : pour ceux qui ne sont pas inscrits sur le site, passer directement par l'accès archivé ici après le titre du blog : « Reminiscencias de la copla : Estrellita de Palma » , sur blogspot.ch, (consulté le ).
uji.es
repositori.uji.es
D'autres sources, et notamment Wikipedia en espagnol, indiquent comme date de sa naissance ; mais il semble qu'au jour de sa mort en octobre 2020, elle ait été âgée de 91 ans [voir : (es) Clara Ferrer, « Fallece la tonadillera Estrellita de Palma, conocida por ‘Campanera’ » [« La chanteuse de tonadillas Estrellita de Palma, connue pour ‘Campanera’ est décédée »], Última Hora, (lire en ligne, consulté le )], ce qui est cohérent avec sa naissance en septembre 1929. D'autres sources encore indiquent pour sa date de naissance [voir : (es) Angel Giner, « Estrellita de Palma, usted tiene la palabra (vous avez la parole) », Vinaroz, semanario de divulgación e información local (« Vinaròs, hebdomadaire d'annonces et d'information locale »), vol. Année IV, no 192, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le )]. Pourquoi de telles incertitudes et contradictions entre les sources? Peut-être les journalistes ne vérifient-ils pas tous les dates, ou n'ont-ils pas eux-mêmes les mêmes sources. Peut-être aussi les dames de cette époque — et plus encore artistes — ne donnaient-elles décidément pas facilement leur âge, probablement pour éviter un tant soit peu les discriminations sexistes.
(es) Angel Giner, « Estrellita de Palma, usted tiene la palabra (vous avez la parole) », Vinaroz, semanario de divulgación e información local (« Vinaròs, hebdomadaire d'annonces et d'information locale »), vol. Année IV, no 192, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
ultimahora.es
D'autres sources, et notamment Wikipedia en espagnol, indiquent comme date de sa naissance ; mais il semble qu'au jour de sa mort en octobre 2020, elle ait été âgée de 91 ans [voir : (es) Clara Ferrer, « Fallece la tonadillera Estrellita de Palma, conocida por ‘Campanera’ » [« La chanteuse de tonadillas Estrellita de Palma, connue pour ‘Campanera’ est décédée »], Última Hora, (lire en ligne, consulté le )], ce qui est cohérent avec sa naissance en septembre 1929. D'autres sources encore indiquent pour sa date de naissance [voir : (es) Angel Giner, « Estrellita de Palma, usted tiene la palabra (vous avez la parole) », Vinaroz, semanario de divulgación e información local (« Vinaròs, hebdomadaire d'annonces et d'information locale »), vol. Année IV, no 192, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le )]. Pourquoi de telles incertitudes et contradictions entre les sources? Peut-être les journalistes ne vérifient-ils pas tous les dates, ou n'ont-ils pas eux-mêmes les mêmes sources. Peut-être aussi les dames de cette époque — et plus encore artistes — ne donnaient-elles décidément pas facilement leur âge, probablement pour éviter un tant soit peu les discriminations sexistes.
(es) Clara Ferrer, « Fallece la tonadillera Estrellita de Palma, conocida por ‘Campanera’ » [« La chanteuse de tonadillas Estrellita de Palma, connue pour ‘Campanera’ est décédée »], Última Hora (« dernière heure »), (lire en ligne, consulté le ).
On pourra voir l'extrait du film où Joselito chante ce "tube", et où l'intrigue se noue autour de la chanson et de son texte ici : ▶ (es) Antonio del Amo (réal.) / Joselito (act.), « Campanera / El pequeño ruiseñor » , sur YouTube, (consulté le ). Version en disque : ▶ (es) Joselito, « Campanera » , sur YouTube (consulté le ). À noter : dans l'article du site ultimahora.es qui sert ici de source ([1]), il y a une erreur sur le titre du premier film de Joselito qui est bien El pequeño ruiseñor, et non El ruiseñor de las cumbres (« Le Rossignol des montagnes »), son troisième film sorti en 1958.
wikipedia.org
es.wikipedia.org
Écouter ici un pasodoble extrait de ce spectacle (« Le Lys de tous les désirs ») interprété par la chanteuse de copla andalouse Imperio de Triana(es) qui y participa : (es) Textes : Antonio Quintero et Rafael de León, musique : Maestro Quiroga, « Manuela Ramos, extrait de "El lirio de los deseos" » , sur YouTube, (consulté le ).
wiktionary.org
fr.wiktionary.org
En espagnol, le mot campanera est le féminin de campanero soit le sonneur (de cloches), et l'on pourrait traduire par « la sonneuse », mais en français le féminin, quoiqu'attesté, est peu usité en ce sens ; employé absolument la « sonneuse » désigne plutôt une musicienne d'instrument à vent qu'une sonneuse de cloche (à la différence de « sonneur ») ; on pourrait alors plutôt traduire par « carillonneuse ». Le mot peut désigner aussi le forgeron fondeur de cloches. Pour le mot espagnol, voir le : (es) Diccionario de la Lengua Española de la Real Academia de España, « Campanero, -ra », sur dle.rae.es, (consulté le ).
youtube.com
Ce n'est pas Estrellita qui a écrit cette chanson de Campanera (composée par Camilo Murillo, Francisco Naranjo et Genaro Monreal), ni ne l'a enregistrée pour la première fois, mais c'est elle qui l'a rendue célèbre (et réciproquement). On pourra l'écouter ici : ▶ (es) Estrellita de Palma, « Campanera », sur YouTube (consulté le ), et ici : ▶ (es) Estrellita de Palma, « Campanera (Pasodoble) », sur YouTube (consulté le ). Et consulter ses paroles ici : ▶ (es) Diana Navarro, « Campanera », sur letras.com (consulté le ).
On pourra voir l'extrait du film où Joselito chante ce "tube", et où l'intrigue se noue autour de la chanson et de son texte ici : ▶ (es) Antonio del Amo (réal.) / Joselito (act.), « Campanera / El pequeño ruiseñor » , sur YouTube, (consulté le ). Version en disque : ▶ (es) Joselito, « Campanera » , sur YouTube (consulté le ). À noter : dans l'article du site ultimahora.es qui sert ici de source ([1]), il y a une erreur sur le titre du premier film de Joselito qui est bien El pequeño ruiseñor, et non El ruiseñor de las cumbres (« Le Rossignol des montagnes »), son troisième film sorti en 1958.
Écouter ici un pasodoble extrait de ce spectacle (« Le Lys de tous les désirs ») interprété par la chanteuse de copla andalouse Imperio de Triana(es) qui y participa : (es) Textes : Antonio Quintero et Rafael de León, musique : Maestro Quiroga, « Manuela Ramos, extrait de "El lirio de los deseos" » , sur YouTube, (consulté le ).
Premier enregistrement en 1955 par Gracia Montes, dans le style copla, avec orchestre : ▶(es) Francisco de Val, interprétation par Gracia Montes, « ¿Será una rosa? » [« Ce sera une rose ? »], sur YouTube, (consulté le ). Version rééditée en 2002 en CD de compilation consacré aux Grandes de la copla, Gracia Montes : ▶Gracia Montes, « ¿Será una rosa? », sur YouTube, Calé Records (n° cat. : CAL 10367?), 1955/2002 (consulté le ). Deuxième enregistrement en 1967 par Gracia Montes, dans un style plus flamenco de canción-rumba, accompagnée à la guitare par Rafael Castellón et “El Noy”, et avec palmas : ▶(es) Francisco de Val / Gracia Montes, « ¿Será una rosa? », . Et la version d'Estrellita de Palma : ▶Estrellita de Palma, « ¿Será una rosa? », sur Discogs, Regal, EMI (n° cat. : J 040-20.783), (consulté le ). Réédition en CD de compilation, dans la série Raíces De La Canción Española (Vol. 36 : Antología II) (« Racines de la chanson espagnole (vol. 36 : anthologie II ») : ▶Estrellita de Palma, « ¿Será una rosa? », sur Discogs, Calé Records (n° cat. : CD104), (consulté le ).