François Ier (roi de France) (French Wikipedia)

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catalogue.bnf.fr

  • André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 146
  • Léon Bodin, Éloge de Pierre Rat, Poitiers, Imprimerie A. Dupré, , 36 p. (BNF 30118116, lire en ligne), p. 19

    « Ce fut le 8 décembre de cette année 1539, vers les cinq heures du soir, que l’empereur Charles-Quint, venant de Lusignan où il avait « couché », disent les chroniques, fit son entrée dans la ville, accompagné du Dauphin et du duc d’Orléans. »

classes.bnf.fr

gallica.bnf.fr

  • Léon Bodin, Éloge de Pierre Rat, Poitiers, Imprimerie A. Dupré, , 36 p. (BNF 30118116, lire en ligne), p. 19

    « Ce fut le 8 décembre de cette année 1539, vers les cinq heures du soir, que l’empereur Charles-Quint, venant de Lusignan où il avait « couché », disent les chroniques, fit son entrée dans la ville, accompagné du Dauphin et du duc d’Orléans. »

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  • André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 146

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  • Juliette Allix, « L’Armure de François Ier : histoires d’un présent diplomatique », Les Cahiers de l’École du Louvre. Recherches en histoire de l’art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie, no 6,‎ (ISSN 2262-208X, DOI 10.4000/cel.311, lire en ligne, consulté le )

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  • « car tel est notre bon plaisir — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le ) : « Jean Sévillia en son Historiquement correct explique : « Le « bon plaisir » est encore un mythe que le latin dissipe. Depuis Charles VII, les lettres patentes des Capétiens s’achevaient par l’expression « Car tel est notre plaisir. » Or le mot plaisir, issu du verbe placere, traduit non un caprice, mais une volonté réfléchie, une décision délibérée. Beaucoup d’actes royaux sont des arrêts du Conseil présentés sous forme de lettre patente. D’abord préparés par les spécialistes, ils ont donné lieu à délibération. […] Garde-fou supplémentaire, les lois ne peuvent être appliquées que si elles ont été enregistrées et publiées. Or, parlement de Paris en tête, ce sont les cours de justice souveraines (chambres des comptes, cours des aides, conseils supérieurs) qui détiennent le privilège d’enregistrer les actes royaux. Dès le XIVe siècle, en cas de désaccord, elles s’autorisent des remontrances avant enregistrement. […] Ajoutons que parlements, chambres des comptes et cours des aides sont constitués de magistrats qui, propriétaires de leurs charges, sont inamovibles. Le Conseil privé (ou Conseil d’État) est présidé par le chancelier, lui aussi inamovible. En conséquence, le monarque ne peut passer par-dessus la tête de ceux qui ont la faculté de lui dire non. » Et Jean Sévillia de conclure : « Où est la tyrannie ? » ».

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