Virginie Dutoya, « Gayatri Chakravorty Spivak, En d’autres mondes, en d’autres mots : Essais de politique culturelle. Nationalisme et imagination [*] », Travail, genre et sociétés, 2012/2 (no 28), p. 224-228. DOI : 10.3917/tgs.028.0224, lire en ligne
(en) Vanessa Andreotti, « Gayatri Spivak’s Contribution and Critics », dans Actionable Postcolonial Theory in Education, Palgrave Macmillan US, coll. « Postcolonial Studies in Education », (ISBN978-0-230-33779-4, DOI10.1057/9780230337794_4, lire en ligne), p. 37–55
doi.org
(en) Vanessa Andreotti, « Gayatri Spivak’s Contribution and Critics », dans Actionable Postcolonial Theory in Education, Palgrave Macmillan US, coll. « Postcolonial Studies in Education », (ISBN978-0-230-33779-4, DOI10.1057/9780230337794_4, lire en ligne), p. 37–55
Collectif, Antoinette Fouque, Mireille Calle-Gruber et Béatrice Didier, Le Dictionnaire universel des créatrices, Éditions des femmes, (ISBN978-2-7210-0651-6, lire en ligne)
Anna Boschetti, Ismes. Du réalisme au postmodernisme.: Du réalisme au postmodernisme, CNRS, (ISBN978-2-271-08042-4, lire en ligne), note n° 798
hypotheses.org
bulac.hypotheses.org
«Si en dépit de ses liens évidents avec la French Theory (féministe ou non), les travaux de Gayatri Spivak ne furent que très récemment introduits en France, la récente publication de quatre essais en quatre ans, dont une nouvelle traduction du fameux « Can the Subaltern Speak ? », témoigne d’une fascination croissante de la pensée française vis-à-vis de ce type de discours, dans un terrain qui reste néanmoins bien délicat : délicat en raison de l’amnésie coloniale qui le frappe, mais également du réflexe de protection de la France vis-à-vis de la pensée féministe contemporaine, dont les racines françaises semblent occultées par les Gender Studies adoubées par les universités américaines.», Anne Castaing, « Penser la différence: du féminisme et de la postcolonie », sur Le Carreau de la BULAC (consulté le )
laviedesidees.fr
Claire Gallien, « Le monde comme littérature », La Vie des idées, (lire en ligne, consulté le )
Lal Maneesha, « Sexe, genre et historiographie féministe contemporaine : l'exemple de l'Inde coloniale », Cahiers du Genre, 2003/1 no 34, p. 149-169. DOI : 10.3917/cdge.034.0149,lire en ligne (p. 153)
Robert J. C. Young(en), Colonial desire: Hybridity in theory, culture, and race, New York, Routledge, 1995, cité dans Lal Maneesha, « Sexe, genre et historiographie féministe contemporaine : l'exemple de l'Inde coloniale », Cahiers du Genre, 2003/1 no 34, p. 149-169. DOI : 10.3917/cdge.034.0149,lire en ligne (p. 152)
Robert J. C. Young(en), Colonial desire: Hybridity in theory, culture, and race, New York, Routledge, 1995, cité dans Lal Maneesha, « Sexe, genre et historiographie féministe contemporaine : l'exemple de l'Inde coloniale », Cahiers du Genre, 2003/1 no 34, p. 149-169. DOI : 10.3917/cdge.034.0149,lire en ligne (p. 152)