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D'après le linguiste Thierry l'Etang : la Guadeloupe s'appelait Turuqueira puis Çurruquia pour Chanca, elle est appelée diversement Carucueria, Carucueira, Caracueira, Queraqueira ou Caraquéira par Martyr d’Anghiera. Sur la carte-croquis dite de Bartolomé Colon (1503-5), apparaît dans la partie supérieure de l’arc des Petites Antilles, au-dessus de Guadalupa et au niveau des îles Vierges, l’île Carucura. Dans le Libretto (1504), Guadipea est dite Carachara, alors que l’Isolario de Bordone (1528) nomme Characara une île située près de Guadalupe. Geraldini comme Santa Cruz la nomment Caruqueira, Bernaldez, Quaruqueria, Quaruquena ou Quaréquena. Gregory McInstosh relève ainsi plusieurs autres variantes : Caraquiera, Carqueixra, Carqueira, Kerkeria, Quiqueri, Quariqui. Parallèlement à cette ligne historique, un autre vocable ou variante affecté à la Guadeloupe fait son apparition depuis Gomara : Guacana, Guacane ou Guancano. Encore dite, Caroucaira par l’Anonyme de Carpentras, elle est nommée Carucueira par Rochefort. Pour Breton et pour les autochtones qui distinguent fort bien les deux îles, Kaloukéra ou Caloucaéra ne désigne que la Basse-Terre ou la Guadeloupe « proprement dite ». La Grande-Terre étant appelée Kousaalaoua, Couchâalaoüa ou Couchahalaoüa. [PDF] Voir Du nom indigène des îles de l'archipel des Antilles.
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