« Questions et Répondes - Peut-on préciser à quel moment Paris les protestants de France commencèrent à être appelés Huguenots ? », Bulletin de la Société de l'histoire du protestantisme français, Paris, vol. 8, , p. 122 (lire en ligne)
Jean Tivollier, Monographie de la vallée du Queyras, Hautes-Alpes ; suivie d'un Aperçu sur les anciennes institutions briançonnaises et sur l'état politique, social et ecclésiastique du Queyras avant 1789, Gap, L. Jean et Peyrot, (lire en ligne)
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« « L'exaspération était au comble ; le peuple fanatisé croyait aux génies, aux farfadets, aux revenants. Il avait mis en pratique des croyances populaires sur le roi Hugon. » La ville de Tours avait conservé ses traditions : ce souverain nocturne parcourait, disait-on, les rues de la cité pendant la nuit pour égarer les saintes filles. On maudissait son ombre, on priait pour conjurer le maléfice. Chaque jour, à la cloche des agonisans, il enlevait une proie ; il renversait les croix dans les cimetières et faisait son séjour dans les antres obscurs. À l'imitation de cet esprit de ténèbres, les protestants étaient convenus de se réunir la nuit pour chanter leurs hymnes et entendre leur prêche. Le peuple leur donna le nom de huguenots, ou disciples du roi Hugon. » »« Quelques historiens attribuent l'origine de leur nom a une monnaie de peu de valeur, appelée Hugonnette ». Dans Jérôme Delandine de Saint-Esprit, Histoire des conjurations (1508-1589) : branche des seconds Valois Mallet, 1843 (Livre numérique Google).
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