Le site afrik.com rapporte dans L’avortement clandestin en Afrique ; Un drame silencieux qui tue 300 000 femmes tous les ans : « Selon l’Organisation mondiale de la santé, 4,2 millions d’avortement à risque se produisent tous les ans en Afrique, entraînant près de 300 000 décès. Au niveau mondial, 44 % des femmes qui meurent à la suite de complications dues à un avortement non médicalisé, sont africaines. Il représente même en Ouganda et au Ghana, l’une des premières causes de mortalité ».
Association Nationale des Centres d'IVG et de Contraception, Méthode instrumentale, consulté le 9 avril 2016.
cairn.info
Agnès Guillaume et Clémentine Rossier, « L’avortement dans le monde. État des lieux des législations, mesures, tendances et conséquences: », Population, vol. 73, no 2, , p. 225–322 (ISSN0032-4663, DOI10.3917/popu.1802.0225, lire en ligne, consulté le )
Les chiennes de garde rapportent que : « interdire l’IVG fait augmenter de manière dramatique le taux de décès des suites d’avortements clandestins : où l’IVG est illégale, le taux de mortalité est de 330, en moyenne, pour 100 000 avortements. Où l’IVG est légale, en revanche, le taux de mortalité oscille entre 0,2 et 1,2 pour 100 000 avortements »
Selon le site Risal dans Mexique : avorter en sécurité, une revendication indigène : « En Amérique latine, 4,2 millions d’avortements clandestins sont pratiqués par an dans des conditions dangereuses. Seul Cuba a dépénalisé l’avortement ».
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dx.doi.org
Agnès Guillaume et Clémentine Rossier, « L’avortement dans le monde. État des lieux des législations, mesures, tendances et conséquences: », Population, vol. 73, no 2, , p. 225–322 (ISSN0032-4663, DOI10.3917/popu.1802.0225, lire en ligne, consulté le )
Fjerstad M, Sivin I, Lichtenberg ES, Trussell J, Cleland K, Cullins V, « Effectiveness of medical abortion with mifepristone and buccal misoprostol through 59 gestational days », Contraception, vol. 80, no 3, , p. 282–286 (PMID19698822, PMCID3766037, DOI10.1016/j.contraception.2009.03.010) The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of vaginal misoprostol) previously used by Planned Parenthood clinics in the United States from 2001 to March 2006 was 98.5% effective through 63 days gestation—with an ongoing pregnancy rate of about 0.5%, and an additional 1% of women having uterine evacuation for various reasons, including problematic bleeding, persistent gestational sac, clinician judgment or a woman's request. The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of buccal misoprostol) currently used by Planned Parenthood clinics in the United States since April 2006 is 98% effective through 59 days gestation.
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Agnès Guillaume et Clémentine Rossier, L’avortement dans le monde. État des lieux des législations, mesures, tendances et conséquences, Population, 2018, 73, § 113, (lire en ligne, cons. le 11/09/2023).
Au Kenya, pays où l'avortement est illégal : « Des statistiques officielles montrent que 30 à 50 pour cent de tous les décès en couches sont directement imputés à l'avortement clandestin. Au Kenya, le taux de mortalité maternelle est actuellement de 414 décès pour 100 000 naissances vivantes, selon l'Enquête sur la santé démographique du Kenya de 2003. » rapporte SANTE-KENYA : Rompre le silence autour de l'avortement.
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portal.issn.org
Agnès Guillaume et Clémentine Rossier, « L’avortement dans le monde. État des lieux des législations, mesures, tendances et conséquences: », Population, vol. 73, no 2, , p. 225–322 (ISSN0032-4663, DOI10.3917/popu.1802.0225, lire en ligne, consulté le )
Dans Avortement : une revendication toujours actuelle en Europe, : « Ainsi, environ 20 000 avortements clandestins ont lieu au Portugal chaque année. À la suite de ces avortements illégaux, souvent pratiqués dans des conditions insalubres, extrêmement dangereuses et traumatisantes pour les femmes, environ 5 000 femmes doivent être transportées à l'hôpital en urgence, et depuis 20 ans, une centaine de ces femmes en sont mortes. À titre de comparaison, une portugaise a 150 fois plus de risques de mourir à la suite d'un avortement qu'une néerlandaise. » et « Légaliser l’avortement, c’est aussi ne plus en faire un sujet tabou, c’est donc en parler, et donner au personnel compétent la possibilité d’informer et d’éduquer l’opinion publique ».
Fjerstad M, Sivin I, Lichtenberg ES, Trussell J, Cleland K, Cullins V, « Effectiveness of medical abortion with mifepristone and buccal misoprostol through 59 gestational days », Contraception, vol. 80, no 3, , p. 282–286 (PMID19698822, PMCID3766037, DOI10.1016/j.contraception.2009.03.010) The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of vaginal misoprostol) previously used by Planned Parenthood clinics in the United States from 2001 to March 2006 was 98.5% effective through 63 days gestation—with an ongoing pregnancy rate of about 0.5%, and an additional 1% of women having uterine evacuation for various reasons, including problematic bleeding, persistent gestational sac, clinician judgment or a woman's request. The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of buccal misoprostol) currently used by Planned Parenthood clinics in the United States since April 2006 is 98% effective through 59 days gestation.
Voir par exemple dans Le catholicisme pour les Nuls : « L'avortement consiste à mettre fin à une vie humaine avant l'accouchement. Quelles qu'aient été les circonstances de sa conception, dès qu'une vie humaine a été conçue, elle a de la valeur. Un philosophe le disait déjà dans l'Antiquité (Tertullien, Apologétique, IX, 8) : « Il est déjà un homme, celui qui le sera » » .
Le comité des droits économiques, sociaux et culturels, des Nations Unies, au sujet de Trinité-et-Tobago, dans une observation de juin 2002 : « Le Comité note avec préoccupation que les avortements clandestins sont à l'origine du taux élevé de mortalité maternelle résultant des infections et des complications dues à des interventions faites dans des conditions non hygiéniques par du personnel sans formation ».
Fjerstad M, Sivin I, Lichtenberg ES, Trussell J, Cleland K, Cullins V, « Effectiveness of medical abortion with mifepristone and buccal misoprostol through 59 gestational days », Contraception, vol. 80, no 3, , p. 282–286 (PMID19698822, PMCID3766037, DOI10.1016/j.contraception.2009.03.010) The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of vaginal misoprostol) previously used by Planned Parenthood clinics in the United States from 2001 to March 2006 was 98.5% effective through 63 days gestation—with an ongoing pregnancy rate of about 0.5%, and an additional 1% of women having uterine evacuation for various reasons, including problematic bleeding, persistent gestational sac, clinician judgment or a woman's request. The regimen (200 mg of mifepristone, followed 24–48 hours later by 800 mcg of buccal misoprostol) currently used by Planned Parenthood clinics in the United States since April 2006 is 98% effective through 59 days gestation.