Logo apparaissant sur les cassettes vidéos, le siège et les voitures de la chaîne [1] ; Cassette vidéo Guy Montagné, La Cinq vidéo [2] ; Cassette vidéo Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [3] ; Autocollant Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [4] ; Siège de La Cinq en décembre 1991
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Les censures dans le monde: xixe- xxie siècle de Laurent Martin [8]
« "Ultimes va-et-vient" du 27 Janvier 1992 », sur humanite.fr La rumeur cite l’Allemand Leo Kirch, associé à Berlusconi et… à TF1 dans la société de production Tricom
« La 5 26/06/1988 23:30:00 00:30:00 Cinéma: Double Vision », sur ina.frDepuis la récente invention du procédé de "colorisation" des films aux Etats-Unis, une polémique violente s'est engagé entre ceux qui sont pour ceux qui s'y opposent au nom du respect des œuvres. Cette émission présente une série de documents, des extraits d'œuvres et des réactions de professionnels du cinéma.
« La 5 05/08/1989 19:56:00 00:33:00 Le journal 20h : émission du 5 août 1989 », sur ina.frLA5 DIFFUSE LE 06.08.89 A 20H30, UN FILM DE JOHN HUSTON "QUAND LA VILLE DORT" DANS SA VERSION COLORISEE. CETTE DIFFUSION ALIMENTE LA CONTROVERSE SUR LE DROIT ET LA NECESSITE DE CETTE "MODIFICATION". JEAN CHATEL NOUS EXPLIQUE COMMENT S'EFFECTUE (AUX ETATS-UNIS) LA "REACTUALISATION" DES FILMS NOIR ET BLANC.
Logo apparaissant sur les cassettes vidéos, le siège et les voitures de la chaîne [1] ; Cassette vidéo Guy Montagné, La Cinq vidéo [2] ; Cassette vidéo Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [3] ; Autocollant Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [4] ; Siège de La Cinq en décembre 1991
« Jeudi, début de la Cinq et de la Six », Sud Ouest, , p. 28 (ISSN1760-6454)
Christophe Petit, « La Cinquième Dimension », Génération Séries, no 7, , p. 28 (ISSN1167-136X)
« Programme du 12 au 18 août 1988 », Ciné Télé Revue, no 32, , p. 32 (ISSN0778-5526).
« Programme du 12 au 18 août 1988 », Ciné Télé Revue, no 32, , p. 54 (ISSN0778-5526).
« Programme télé du 5 au 11 août 1989 », Télé 7 Jours, no 152, , p. 32 (ISSN0153-0747).
« Programmes du 7 février 1990 », Sud Ouest, , p. 31 (ISSN1760-6454) Mercredi 7 février 1990 LA CINQ 20 H 40 Chaque mercredi, à partir d'aujourd'hui, la Cinq consacre sa soirée aux histoires de la vie, personnelle, politique ou sociale et à ceux qui en senties acteurs. Ces «Histoires vraies» seront présentées par Gilles Schneider a rédaction en chef délégué de l'information, la responsabilité des journaux du week-end, la présentation des éditions de 13 heures le samedi et le dimanche, les opérations spéciales comme le Paris-Dakar. Gilles Schneider a plusieurs casquettes. Ce soir, il en rajoute une à sa panoplie : « Histoires vraies », un nouveau magazine de société qu'il présente désormais le mercredi sur la Cinq. Une fiction, un témoin, un débat C'est ainsi que se décline « Histoires vraies », présenté par Gilles Schneider. Impossible de ne pas penser aux
« Dossiers de l'écran ». Le journaliste, qui a animé l'émission d'Armand Jammot pendant deux ans, ne le nie pas : « Il y a des tas d'émissions qui ont ressemblé ou ressemblent de près ou de loin aux "Dossiers...", reconnaît-il. Mais nous sommes différents sur le fond comme sur la forme. Le téléfilm sera suivi d'une interview d'une personne ayant vécu la même histoire que celle racontée dans la fiction. Après cet entretien, un débat avec Fiction et réalité quelques invités dont je ne limite pas le nombre. Pour le viol — sujet abordé ce soir — ils seront cinq car, pour ce problème, il n'y a pas de pour et de contre. Mais pour d'autres thèmes, il me suffira d'avoir en plateau deux invités très représentatifs qui défendront chacun leur position, des invités utiles uniquement. » Autre différence : un chroniqueur de la chaîne sur le plateau comme Paul Lefèvre, par exemple, et uniquement des sujets de société. « Nous ne traiterons jamais de la guerre de 40 ou autre fait historique, explique Gilles Schneider. Et si un événement considérable intervient dans l'actualité, nous serons capables de modifier nos programmes pour coller à l'information. Nous n'aurons pas, non plus, de dialogue avec SVP comme dans les "Dossiers..." mais poserons une question en début d'émission à laquelle les téléspectateurs répondront sur minitel.
« Programme du 18 au 24 avril 1992 », Télé Loisirs, no 320, , p. 38 (ISSN0297-8695) : « La Cinq, 10h00: Hercule Poirot (série britannique), L'Appartement du troisième étage »
« Programme du 21 au 27 septembre 1990 », Ciné Télé Revue, no 38, , p. 83 (ISSN0778-5526)Dimanche La Cinq 22h30 Le facteur sonne toujours deux fois
« La saga de la Cinq (suite et fin) de Lise Vandenbeylaardt Universite de Liège », sur law.kuleuven.be Dossier satellite T.D.F. 1: Le gouvernement, le 11 mars 1986, à cinq jours des élections législatives attribua deux des canaux disponibles du satellite T.D.F. 1 au Consortium européen pour la télévision commerciale. Cette société réunit le groupe Fininvest, Maxwell, la Société allemande Beta taurus et la S.E.P.C., holding des participations françaises au capital de la Cinq. "T.D.F. 1 transmettra la Cinq et la future septième chaine a vocation culturelle. Ces quatre canaux sont attribués pour une durée de 16 ans au prix de 55 millions de francs par an et par canal" (Le Monde du 13 mars 1986).
la-rida.com
Jean Mirat, « L'Affaire du Kid - RIDA - Revue Internationale du Droit d'Auteur », sur la-rida.com, (consulté le ) Dans un premier argument, RICHEBE et je relate ici ses conclusions vous dit : On me reproche d'avoir inséré dans cette copie du Kid des cartons sous-titrés français. C'est exact, mais, dit-il, ces cartons ne sont pas infidèles au texte de CHAPLIN. Je n'ai fait que traduire les cartons dont étaient munies les copies publiées par CHAPLIN lui-même. Pouvez-vous, Messieurs, retenir cet argument ? (...) CHAPLIN ne veut plus de ces cartons, et nous allons en arriver précisément à l'essence du droit moral de Charlie CHAPLIN que je viens défendre devant la Cour, c'est que CHAPLIN entend exploiter son œuvre comme il le veut aujourd'hui et non comme elle le fut naguère. De même, Messieurs, et là, sur ce point, je ne peux pas être contredit M. RICHEBE a pris cette copie lavande du Kid et y a ajouté une bande sonore de son choix. Il ne peut pas dire ici que cette bande sonore soit le reflet ou l'écho d'une musique autorisée par CHAPLIN. Le film était muet.
« Notre inépuisable besoin d'images », sur lemonde.fr" Star Trek " date du temps ou l'eye liner et le fard beige formaient la base du maquillage. La série est déjà passée sur une chaîne nationale dans les programmes enfantins. La " 5 " décloisonne, elle pense au bambin qui sommeille dans tout insomniaque. " Star Trek " termine le programme à deux heures du matin et repasse à plusieurs reprises dans la journée. " C'est intéressant si on n'a pas tout compris tout de suite", disait une téléspectatrice interviewée dans le cadre de la campagne auto-publicitaire, selon laquelle 69 % des personnes interrogées souhaitent que la " 5 " continue telle quelle.
« Assurée par M. Robert Hersant La régie publicitaire de la 5 contestée M. Berlusconi », sur lemonde.frLors de la réattribution de la chaine au tandem Hersant-Berlusconi, tous deux actionnaires à 25 %, la répartition des tâches s'est opérée en faveur du premier, chargé de la direction générale et de la gestion de la publicité, les Italiens maitrisant plutôt les programmes à la fois par l'intermédiaire d'un homme, M. Carlo Freccero, et par une filiale du groupe italien _ Rete Italia _ fournisseur de programmes étrangers.
« La télévision américaine entre le départ de Ronald Reagan et l'Europe de 1993 Les craintes et les espoirs des producteurs d'Hollywood », sur lemonde.frPourquoi changeraient-ils, puisque toutes viennent à eux ? Les Italiens dès la fin des années 1970, Berlusconi en tête ; les Français en renfort et en ordre dispersé, depuis deux ou trois ans ; aujourd'hui les Espagnols, les Allemands et toujours les Anglais... Ils leur vendent du neuf, bien sûr, mais ils s'amusent aussi de voir la ruée sur leurs vieux stocks des années 1960, lesquels ont soudain repris de la valeur et s'organisent en "collections". L'explosion des télévisions privées en Europe de l'Ouest et l'arrivée des chaines par satellite leur ouvrent un formidable champ de vente.
« DES RÉALISATEURS AMÉRICAINS ATTAQUENT LA 5 », sur lemonde.frle 15 mars 1986: La lutte des créateurs contre la coupure des œuvres par la publicité est passée du stade de la pétition à celui de l'action en justice. Le réalisateur américain Paul Schrader s'est ainsi opposé par l'intermédiaire...
« Notre inépuisable besoin d'images », sur lemonde.frDEPUIS que les cinéastes ont obtenu gain de cause, elle ne diffuse plus de films. Chefs-d'œuvre et nanars ne risquent plus d'être dénaturés par un saucissonnage publicitaire qui ne gêne pas les feuilletons, puisqu'ils sont conçus pour. Plus rien d'ailleurs ne gêne les feuilletons dans les programmes d'été dont les jeux ont disparu.
« Séries : la concurrence des chaînes fait le jeu des Américains », sur lemonde.frLa partie a repris de plus belle à l'occasion du marché des programmes à Cannes. Privée de films par la décision du Conseil d'État, la " 5 " ne peut survivre qu'en programmant des feuilletons et des séries de prestige. La 5 a emporté haut la main "Pierre le Grand", une minisérie de prestige et a acheté quelques autres programmes boudés par le club d'Antenne 2.
« Séries : la concurrence des chaînes fait le jeu des Américains », sur lemonde.frM. Berlusconi tente de voler " Dynasty " à FR 3, qui n'a pas les moyens de surenchérir. Mais RTL télévision intervient, propose d'acheter les trois prochaines saisons de la série, encore au stade du synopsis et emporte le marché. Il y a trois jours, la télévision luxembourgeoise revendait une partie de ses droits à FR 3 pour que la chaîne publique puisse continuer la diffusion du feuilleton américain en septembre.
« Notre inépuisable besoin d'images », sur lemonde.frLes différences : une composante rurale et provinciale plus marquée et une audience plus féminine (60 %) pour " Maigret ", un public plus urbain et même parisien et plus masculin (54 %) pour " Série noire ". Autre comparaison : " Starsky et Hutch " (le dimanche sur TF 1) contre " Deux flics à Miami " (le vendredi sur A2). Traits communs aux auditoires de ces deux séries : il est en majorité féminin (60 %), assez âgé (au-delà de trente-cinq ans et surtout de cinquante ans), nettement rural (un sur deux), de niveau d'étude primaire (43 % pour " Deux flics à Miami ", 52 % pour " Starsky et Hutch "). Selon Médiamétrie, les caractéristiques dominicales de cet auditoire sont celles du public familial du week-end. " Ces bataillons de gros consommateurs de télévision sont aussi ceux que la " 5 " a su capter avec ses " Kojak ", " Mike Hammer ", " Baretta " et consorts ", conclut l'étude.
« Guillaume Durand, journaliste-présentateur », sur lemonde.frCette chaine est une chaine urbaine, qui touche, en gros, trois catégories de personnes : les gosses, les personnes âgées et les cadres, ceux qui rentrent tard, épuisés et qui ont envie d'une bonne série télévisée.
« Les dernières émissions de La Cinq Du fond noir à l'écran noir », sur lemonde.fr Le décor du journal était l'apanage du patron, depuis l'ORTF. C'était resté un décor de théâtre. Je pensais qu'il fallait tuer ce décor et passer enfin à l'ère de l'électronique. " Les deux projets de décor mis en compétition ne plaisent pas à Robert Hersant ; le temps presse, le hasard permet à Christian Guy d'imposer le fond noir nécessaire aux incrustations " signifiantes " qu'il préconise. Ce " look " sans décor figé, sur fond de régie, de bleu sombre ou de noir, est aujourd'hui adopté ou adapté par les autres chaînes. Du Japon, il ramène l'idée des journaux tout-en-images, que La Cinq sera la première à mettre en application au petit-matin. " Le présentateur n'a plus la fonction technique d'autrefois, quand il fallait lancer les sujets. Il garde sa fonction journalistique et " commerciale ", dans un pays où la consommation du " 20 heures " évolue très lentement.
« LES EMISSIONS A SONDAGES Démocratie ou téléguidage? », sur lemonde.fr" Pour nous, les choses étaient claires ", reconnait sans détour Guillaume Durand. " Autant que de participer à ce mouvement de démocratie directe et d'interactivité, il s'agissait de faire de l'audience et, via le minitel, des sous. " Depuis 1987, (octobre, pour le "Duel" de Jean-Claude Bourret ; septembre, pour le "20 heures" de Guillaume Durand, qui livre une première estimation des résultats), le téléspectateur présent devant son poste est interrogé, " de façon forcément un peu provocatrice ", par la rédaction de la Cinq. Chaque journal déclenche, en moyenne, 15 000 appels. Lancée au départ avec le minitel, l'opération visait essentiellement à servir de " produit d'appel " à l'ensemble du réseau télématique de la chaine (environ 35 000 heures de connexion par an, soit autant qu'Antenne 2).
« Publicités, parrainages, jeux, concurrence... La télé aux œufs d'or », sur lemonde.frChacun sait que la base de TDF est cégétiste. Ils freinent l'extension de notre réseau ", accuse Marie-France Cubbada, tandis que d'autres journalistes imputent la faible audience du journal de 20 heures à la mauvaise " locomotive " que constituerait l'émission de Philippe Bouvard.
« LE LANCEMENT DE LA " 5 " Défilé de stars », sur lemonde.fr: « Ironie du système. Comme disait Yves Sabouret lors de sa fameuse intervention au journal de 20 heures : " La 5 n'a atteint qu'une seule fois les 13 % d'audience (en dehors de la dernière soirée du 12 avril 1992) : quand elle a diffusé un film érotique à 20 h 30. " »
« Les stratégies de Havas, de M. Hersant et de la CLT Chassé-croisé autour de la 5 », Le Monde, Le géant de la télévision italienne apporterait en outre en cadeau de mariage deux atouts majeurs. D'une part, la continuité d'exploitation de la chaine dans la période de transition grâce à son stock de programmes et, d'autre part, la capacité d'élargir rapidement, grâce à ses émetteurs et à son expertise technique, la couverture de la "5" qui ne touche encore qu'une trop faible partie du territoire.
« En souscrivant à l'augmentation du capital de la Chaine M. Berlusconi choisit de rester sur la Cinq », Le Monde, Le partage des responsabilités, qui attribuait la gestion des programmes à l'Italien et celle de la règle publicitaire au Français, avait volé en éclats. Et les salariés de rire, mi-goguenards, mi-scandalisés, de l'image déplorable offerte par la chaine lors de récents marchés internationaux de programmes, où deux acheteurs - l'un pour le compte du magnat transalpin, l'autre pour celui du patron du groupe de presse français - faisaient successivement antichambre dans les mêmes salons de producteurs américains.
« Grandes manœuvres dans les chaines françaises M. Berlusconi lorgne TF1 », Le Monde, M. Robert Hersant a pris le pouvoir sur son associé, M. Berlusconi, en confisquant la régie publicitaire de la chaine, puis les achats de programmes. L'homme d'affaires italien prend aujourd'hui l'initiative de la rupture. Il s'allie avec TF 1 pour s'installer sur le satellite de télévision directe, constitue avec la Une et l'allemand Beta Taurus un pôle européen d'achat de programmes et de production, puis annonce son intention d'entrer dans le capital de la première chaine.
« Le paradoxe de l'info », sur lemonde.frLes téléspectateurs, eux, ont trouvé tout cela plutôt sympathique et normal : le journal a atteint la semaine passée les " pics d'audience " de la guerre du Golfe (soit plus de 9 % de parts de marché).
« GRILLES DE RENTRÉE La Cinq au milieu du gué », sur lemonde.frDe fait, " l'information de coups " façon Cinq, si elle a beaucoup fait pour l'image de la chaîne (le Golfe, après la Roumanie), n'a jamais su fidéliser, dans la durée, les téléspectateurs attendus. Le nouveau visage des journaux télévisés (qui se recentrent à la rentrée sur les informations franco-françaises au détriment de l'international et jouent la synergie en unifiant, dès le 1er septembre, les bureaux des correspondants régionaux de La Cinq et ceux d'Europe 1) ne tient peut-être et malgré les démentis de la chaîne, qu'à cette logique économique.
« GRILLES DE RENTRÉE La Cinq au milieu du gué », sur lemonde.frD'abord, parce que Magny-Cours est une étape (et une victoire) de cette course aux retransmissions, aux préemptions de programmes et aux achats de stars que La Cinq livre à armes inégales avec sa première rivale, TF 1. Ensuite parce que Magny-Cours confirme que, dans un contexte de concurrence exacerbée, il faut aujourd'hui payer le prix fort (6 millions de dollars, soit près de 36 millions de francs pour les droits des 16 grands prix 1991) pour glaner une certaine audience : le 7 juillet, de 15 heures à 15 h 45, avec 40 % de parts de marché, La Cinq a réussi l'exploit de supplanter la Une.
« HACHETTE RENONCE A LA 5 Celle qui voulait copier la Une », sur lemonde.fr Les études qualitatives montrent qu'entre les mois d'avril et de décembre 1991 la 5 a progressé essentiellement chez les citadins. " Elle n'a pas exploité ce point fort, comme elle a négligé les deux autres : le profil anti-" France profonde " de Guillaume Durand et l'implantation urbaine de la chaîne ", note René Saal.
« Pour contrer la baisse d'audience La Cinq reprogramme Kojak », sur lemonde.frM. Yves Sabouret, annonce ainsi la programmation de la série américaine " Kojak ", de 19 à 20 heures, dès mercredi 22 mai. " Notre problème majeur, actuellement, se concentre sur la tranche horaire 18-20 heures, affirme M. Sabouret. Sur cette tranche, nous sommes obligés de constater que les résultats sont décevants. " (Le Monde du 25 avril.) Pour protéger son audience moyenne, la Cinq va donc remplacer ses émissions actuelles _ " La ligne de chance " et " Les aventures de Léon Duras, chroniqueur mondain " _ par la célèbre série américaine. Un produit, selon M. Sabouret, " confirmé, sûr et reconnu, familial et fédérateur, qui coïncidera avec la disparition de " Mac Gyver " sur Antenne 2 ".
« GRILLES DE RENTRÉE La Cinq au milieu du gué », sur lemonde.frPascal Josèphe reconnaît qu'il a pu commettre, de-ci de-là, quelques erreurs d'appréciation. " Avant cette expérience, j'avais coutume de dire : la programmation, c'est 50 % d'ordinateur et 50 % de pif. Aujourd'hui, je dirais plutôt que c'est un tiers d'ordinateur, un tiers de savoir-faire et un tiers de pif. " La programmation de la série " Léon Duras, chroniqueur mondain ", avant le journal de 20 heures, était de sa part " une erreur ", aussitôt corrigée, le 22 mai, avec " Kojak ".
« IMAGES Vie et mort de La Cinq », sur lemonde.fr Et jusqu'en son naufrage elle resta fidèle à elle-même, charriant sans distinction le sincère désespoir des anonymes et les larmes soigneusement profilées des inévitables, et transformant en Barnum permanent ce flot équivoque. Parmi d'autres, à son chevet noyé de fleurs et de spotlights, se succédèrent Jacques Séguéla, Richard Bohringer, Françoise Sagan, Francis Huster ou Alain Delon, et la photo de ce cortège funèbre dispense de tout autre commentaire.
« Le paradoxe de l'info », sur lemonde.fr Jean Minot, chargé _ par vacance du poste _ de la programmation, pouvait se contenter de sauver les meubles, en se satisfaisant d'une audience de l'ordre de 10 % et d'une politique plus modeste, mais rentable, comme celle de M 6.
« La fin du 27 MIP-TV Les tranquilles certitudes du plus gros acheteur de programmes du monde », sur lemonde.fr Quelques années plus tard, à ses commandes italiennes, Danièle Lorenzano a ajouté la France. La 5 se profilait. " Ce fut beaucoup plus facile. Je connaissais les programmes pour les avoir expérimentés en Italie _ en matière de fiction, les goûts du public sont similaires _ et je pouvais même corriger certaines erreurs en m'inspirant des choix de la RAI. " En achetant pour la France, il prospecte pour l'Espagne et se constitue déjà des catalogues avant même de savoir si Berlusconi trouvera dans ce pays le moindre débouché. " Acheter, dit-il, cela veut dire prendre des risques et avoir une longueur d'avance sur les concurrents, faire des paris sur l'avenir. ".
« Féminine et sereine », sur lemonde.frune adaptation, par Daniel Creusot, d'un grand " reality show " nord-américain (On Scene, diffusé le dimanche à 18 heures sur NBC), rebaptisé " Urgences " et présenté par Jean-Claude Bourret.
« HACHETTE RENONCE A LA 5 Celle qui voulait copier la Une », sur lemonde.frParadoxalement, les téléspectateurs n'auront guère pu mesurer ces promesses : cinquante téléfilms de 90 minutes ont été mis en production, qui ne seront pas diffusés.
« HACHETTE RENONCE A LA 5 Celle qui voulait copier la Une », sur lemonde.frLa grille devait d'abord être généraliste. Et le jeu d' " access prime time " (comme on dit dans le jargon de la profession pour parler de la tranche 19-20h, juste avant le journal télévisé), " Sept marches vers un million ", devait en être le bouquet final, l'apothéose. La formule, préparée par " le pape du jeu télévisé ", Grundy (" la Roue de la fortune ", " Jeopardy "), ne sera jamais testée sur la 5. On pourrait le retrouver sur Antenne 2, avec qui les Australiens Grundy négocient aujourd'hui. Ce projet illustrait en tout cas la volonté de " la 5 Hachette " de battre TF 1 même sur ses points forts.
« Féminine et sereine », sur lemonde.frQuant au jeu interactif testé en début d'année en " décrochage " à Orléans par la maison de production québécoise Vidéotron à la demande de MMB (groupe Lagardère), avec le concours de la presse et des radios locales du groupe Hachette, il sera vraisemblablement porté à l'antenne au début de 1992.
« La Cinq, Maître Lafont ouvre une procédure de départs volontaires », sur lesechos.frRégie 5 a, quant à elle, annoncé une opération spéciale de nature à contribuer à la survie de la chaîne. Ainsi sera lancée une opération « Pub Info », en ouvrant un écran spécial à un tarif particulièrement compétitif au sein des 4 journaux télévisés de la journée (6 H, 7 H 15, 12 H 45, 20 H 00 et Journal de la nuit).
« Matra- Hachette va arrêter l'expérience Multipoints », sur lesechos.frDémarrée du temps où Hachette était opérateur de La Cinq, l'expérience de la carte Multipoints va s'achever. « C'est un concept de jeu interactif trop compliqué, son principe qui consiste à accumuler des points sans obtenir de gains immédiats est aujourd'hui dépassé », concèdeton à la direction de Matra-Hachette. Qui plus est, le groupe n'a plus aujourd'hui de support télévisuel pour un tel jeu interactif: après la liquidation de La Cinq, France 2, qui avait repris en 1993 cette expérience, jette l'éponge.
« Décès de Philippe Ramond », sur liberation.frIl devient ensuite le directeur général de TVES-groupe de communication Robert Hersant.
mcgill.ca
escholarship.mcgill.ca
« La construction d'une europe audiovisuelle de Sophie Havard, Faculté de droit - Université Mc Gill, Montréal, février 1993 », sur escholarship.mcgill.ca Une autre initiative privée doit être citée: Le Corsortium Européen, crée en mars 1986 par M.Seydoux (Chargeurs Image), M. Berlusconi (Fininvest Rete Italia), M. Kirch (Beta Taurus) et le 'tristement célèbre M. Maxwell, a éclaté au début de 1989 après le retrait du partenaire français. Il s'était orienté vers le développement de projets de prestige (mini-séries de 4 heures ayant pour un budget de l'ordre de 30 MF), après s'être vu retirer la concession de deux canaux sur le satellite TDF 1.
Logo apparaissant sur les cassettes vidéos, le siège et les voitures de la chaîne [1] ; Cassette vidéo Guy Montagné, La Cinq vidéo [2] ; Cassette vidéo Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [3] ; Autocollant Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [4] ; Siège de La Cinq en décembre 1991
« Séance vendredi 18 juillet 1986 », sur senat.fr S'agissant des délais de programmation : service public, trois ans, et deux ans en cas de coproduction ; Canal plus, un an ; cinquième chaîne, deux ans jusqu'en 1990, puis application des règles du service public avec dérogation ; sixième chaîne, trois ans, deux ans en cas de coproduction avec des dérogations possibles ; réseaux câblés, trois ans, et deux ans en cas de coproduction. (...) S'agissant des quotas de films français : service public, 50 p. 100 ; Canal plus, 50 p. 100 ; • cinquième chaîne, 25 p. 100 sur cinq ans, puis application des règles du service public ; sixième chaîne, 50 p. 100 ; réseaux câblés, 50 p. 100. S'agissant des quotas de films pour la Communauté économique européenne : service public, 60 p. 100 ; Canal plus, 60 p. 100 ; cinquième chaîne, 25 p. 100 ; sur cinq ans, puis règles du service public ; sixième chaîne, 60 p. 100 ; réseaux câblés, 60 p. 100.
S'agissant des grilles de programmation des œuvres cinématographiques : il est interdit au service public de diffuser
des films le samedi et le dimanche avant vingt heures trente, le mercredi et le vendredi soir, sauf après vingt-deux heures trente ; Canal plus, interdiction samedi avant vingt-trois heures, dimanche avant dix-huit heures, mercredi et vendredi avant vingt et une heures ; cinquième chaîne, les mêmes règles que le service public, mais la diffusion de films
est autorisée les samedis et dimanches en matinée ; la sixième chaîne se voit appliquer les mêmes règles que la Cinq et le réseau câblé, celles du service public. Enfin, s'agissant du nombre annuel des films, service public : F.R.3, 210 : T.F.1 et Antenne 2, 170 ; Canal plus, 365 ; cinquième chaîne, 250 et sixième chaîne, 150. Aucun quota n'est fixé pour les réseaux câblés. Cet état des lieux démontre à l'évidence que Canal plus est une chaîne privilégiée et que la Cinq et T.V.6 se sont vu attribuer des conditions préférentielles, du moins pendant un temps, par rapport au service public.
« Séance vendredi 18 juillet 1986 », sur senat.fr Il n'est pas dû au hasard que, parmi les signataires de l'appel d'Aubervilliers, que nous avons remis à M. le ministre de la culture et de la communication dès le début de ce débat, figurent de nombreux grands noms du cinéma : Bernard Giraudeau, François Chaumette, Pierre Arditti [sic], Gérard Blain, Marcel Bluwal, Mauriçe Dugowson, Annie Duperrey [sic], Jacques Fansten, Philippe Léotard (Sourires), Stellio Lorenzi, Jean Rochefort, Bertrand Tavernier, Claude Santelli et de nombreux autres que nous pourrions citer encore.
« Annexe au procès- verbal de la séance du 11 octobre 1988 », sur senat.frdate= Dans le même temps, elle a insisté auprès de la CNCL pour que son réseau bénéficie d'une extension plus rapide que prévue et, afin d'attirer les annonceurs publicitaires pour couvrir les frais de son ambitieuse programmation (150 millions de francs par mois contre 20 millions de francs mensuels pour la grille précédente), elle leur a proposé une "garantie d'audience" : elle s'engageait, pour le cas où son audience aux heures de grande écoute ( 19 H 30 - 22 H 30) serait inférieure à 25 % de l'audience totale des six chaînes françaises sur la même tranche horaire, à dédommager les publicitaires au prorata de l'audience effectivement réalisée. Très vite, la Cinq a dû se rendre à l'évidence de l'échec. Son audience a chuté de deux points en deux mois(6,8 % en novembre contre 8,4 % en septembre)
Hector Felciano, « COLORIZED FILM BARRED BY FRENCH », sur washingtonpost.com, (consulté le )La première fois qu'un tribunal a confirmé le droit moral d'un cinéaste américain en France remonte aux années 1950, lorsque l'acteur-réalisateur-producteur Charlie Chaplin s'opposait à la bande originale ajoutée à son film muet The Kid
Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le )La diffusion du film de Huston aurait été la première fois qu'un film colorisé apparaissait à la télévision française.
Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le )La Cinq prévoyait de diffuser "Quand la ville dort" colorisée à une heure de grande écoute, suivie de la version en noir et blanc du film de 1950 avec Sterling Hayden plus tard dans la nuit. Un débat sur la colorisation était également prévu.
« La réorientation de la «Cinq». Une chaîne neuve à l'horizon 92 », sur lesoir.beQuoi donc en vue pour l'année qui vient? D'abord une information qui reste, dixit Yves Sabouret, l'étendard de la chaîne. Elle jouera toujours sur l'impertinence. Mais sera resserrée dans le temps et gagnera en rigueur. Exit les télévotes et «les débats sommaires».