La Cinq (French Wikipedia)

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banq.qc.ca

numerique.banq.qc.ca

  • Michèle Ouimet, « Télé-Métropole s'en prend à Radio-Canada », La Presse,‎ , B3 (lire en ligne)

conseil-constitutionnel.fr

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gettyimages.com

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  • Logo apparaissant sur les cassettes vidéos, le siège et les voitures de la chaîne [1] ; Cassette vidéo Guy Montagné, La Cinq vidéo [2] ; Cassette vidéo Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [3] ; Autocollant Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [4] ; Siège de La Cinq en décembre 1991

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  • [12] Marque LA CINQ déposée à l'INPI le 29/04/1991

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  • « Jeudi, début de la Cinq et de la Six », Sud Ouest,‎ , p. 28 (ISSN 1760-6454)
  • Christophe Petit, « La Cinquième Dimension », Génération Séries, no 7,‎ , p. 28 (ISSN 1167-136X)
  • « Programme du 12 au 18 août 1988 », Ciné Télé Revue, no 32,‎ , p. 32 (ISSN 0778-5526).
  • « Programme du 12 au 18 août 1988 », Ciné Télé Revue, no 32,‎ , p. 54 (ISSN 0778-5526).
  • « Programme télé du 5 au 11 août 1989 », Télé 7 Jours, no 152,‎ , p. 32 (ISSN 0153-0747).
  • « Programmes du 7 février 1990 », Sud Ouest,‎ , p. 31 (ISSN 1760-6454) Mercredi 7 février 1990 LA CINQ 20 H 40 Chaque mercredi, à partir d'aujourd'hui, la Cinq consacre sa soirée aux histoires de la vie, personnelle, politique ou sociale et à ceux qui en senties acteurs. Ces «Histoires vraies» seront présentées par Gilles Schneider a rédaction en chef délégué de l'information, la responsabilité des journaux du week-end, la présentation des éditions de 13 heures le samedi et le dimanche, les opérations spéciales comme le Paris-Dakar. Gilles Schneider a plusieurs casquettes. Ce soir, il en rajoute une à sa panoplie : « Histoires vraies », un nouveau magazine de société qu'il présente désormais le mercredi sur la Cinq. Une fiction, un témoin, un débat C'est ainsi que se décline « Histoires vraies », présenté par Gilles Schneider. Impossible de ne pas penser aux « Dossiers de l'écran ». Le journaliste, qui a animé l'émission d'Armand Jammot pendant deux ans, ne le nie pas : « Il y a des tas d'émissions qui ont ressemblé ou ressemblent de près ou de loin aux "Dossiers...", reconnaît-il. Mais nous sommes différents sur le fond comme sur la forme. Le téléfilm sera suivi d'une interview d'une personne ayant vécu la même histoire que celle racontée dans la fiction. Après cet entretien, un débat avec Fiction et réalité quelques invités dont je ne limite pas le nombre. Pour le viol — sujet abordé ce soir — ils seront cinq car, pour ce problème, il n'y a pas de pour et de contre. Mais pour d'autres thèmes, il me suffira d'avoir en plateau deux invités très représentatifs qui défendront chacun leur position, des invités utiles uniquement. » Autre différence : un chroniqueur de la chaîne sur le plateau comme Paul Lefèvre, par exemple, et uniquement des sujets de société. « Nous ne traiterons jamais de la guerre de 40 ou autre fait historique, explique Gilles Schneider. Et si un événement considérable intervient dans l'actualité, nous serons capables de modifier nos programmes pour coller à l'information. Nous n'aurons pas, non plus, de dialogue avec SVP comme dans les "Dossiers..." mais poserons une question en début d'émission à laquelle les téléspectateurs répondront sur minitel.
  • « Programme du 18 au 24 avril 1992 », Télé Loisirs, no 320,‎ , p. 38 (ISSN 0297-8695) : « La Cinq, 10h00: Hercule Poirot (série britannique), L'Appartement du troisième étage »
  • « Programme du 21 au 27 septembre 1990 », Ciné Télé Revue, no 38,‎ , p. 83 (ISSN 0778-5526)Dimanche La Cinq 22h30 Le facteur sonne toujours deux fois

kuleuven.be

law.kuleuven.be

  • La saga de Ia Cinq (suite et fin)
  • « La saga de la Cinq (suite et fin) de Lise Vandenbeylaardt Universite de Liège », sur law.kuleuven.be Dossier satellite T.D.F. 1: Le gouvernement, le 11 mars 1986, à cinq jours des élections législatives attribua deux des canaux disponibles du satellite T.D.F. 1 au Consortium européen pour la télévision commerciale. Cette société réunit le groupe Fininvest, Maxwell, la Société allemande Beta taurus et la S.E.P.C., holding des participations françaises au capital de la Cinq. "T.D.F. 1 transmettra la Cinq et la future septième chaine a vocation culturelle. Ces quatre canaux sont attribués pour une durée de 16 ans au prix de 55 millions de francs par an et par canal" (Le Monde du 13 mars 1986).

la-rida.com

  • Jean Mirat, « L'Affaire du Kid - RIDA - Revue Internationale du Droit d'Auteur », sur la-rida.com, (consulté le ) Dans un premier argument, RICHEBE et je relate ici ses conclusions vous dit : On me reproche d'avoir inséré dans cette copie du Kid des cartons sous-titrés français. C'est exact, mais, dit-il, ces cartons ne sont pas infidèles au texte de CHAPLIN. Je n'ai fait que traduire les cartons dont étaient munies les copies publiées par CHAPLIN lui-même. Pouvez-vous, Messieurs, retenir cet argument ? (...) CHAPLIN ne veut plus de ces cartons, et nous allons en arriver précisément à l'essence du droit moral de Charlie CHAPLIN que je viens défendre devant la Cour, c'est que CHAPLIN entend exploiter son œuvre comme il le veut aujourd'hui et non comme elle le fut naguère. De même, Messieurs, et là, sur ce point, je ne peux pas être contredit M. RICHEBE a pris cette copie lavande du Kid et y a ajouté une bande sonore de son choix. Il ne peut pas dire ici que cette bande sonore soit le reflet ou l'écho d'une musique autorisée par CHAPLIN. Le film était muet.

lalibre.be

latimes.com

le-rights.com

  • [19] Lagardère Entertainment Rights

legifrance.gouv.fr

lemonde.fr

lenodal.com

blog.lenodal.com

  • [13] conception de l'habillage

leparisien.fr

lesechos.fr

  • Nicole Vulser, « La libéralisation chaotique de l'audiovisuel », Les Echos, Plusieurs formules de La Cinq sont lancées successivement, avant mars 1986 et la naissance de France 5(...)
  • « La Cinq: Hachette parvient à un accord avec Animage », sur lesechos.fr.
  • « La Cinq, Maître Lafont ouvre une procédure de départs volontaires », sur lesechos.frRégie 5 a, quant à elle, annoncé une opération spéciale de nature à contribuer à la survie de la chaîne. Ainsi sera lancée une opération « Pub Info », en ouvrant un écran spécial à un tarif particulièrement compétitif au sein des 4 journaux télévisés de la journée (6 H, 7 H 15, 12 H 45, 20 H 00 et Journal de la nuit).
  • « Controverses sur le financement d'ARTE », sur lesechos.fr
  • « Matra- Hachette va arrêter l'expérience Multipoints », sur lesechos.frDémarrée du temps où Hachette était opérateur de La Cinq, l'expérience de la carte Multipoints va s'achever. « C'est un concept de jeu interactif trop compliqué, son principe qui consiste à accumuler des points sans obtenir de gains immédiats est aujourd'hui dépassé », concèdeton à la direction de Matra-Hachette. Qui plus est, le groupe n'a plus aujourd'hui de support télévisuel pour un tel jeu interactif: après la liquidation de La Cinq, France 2, qui avait repris en 1993 cette expérience, jette l'éponge.

lexinter.net

liberation.fr

mcgill.ca

escholarship.mcgill.ca

  • « La construction d'une europe audiovisuelle de Sophie Havard, Faculté de droit - Université Mc Gill, Montréal, février 1993 », sur escholarship.mcgill.ca Une autre initiative privée doit être citée: Le Corsortium Européen, crée en mars 1986 par M.Seydoux (Chargeurs Image), M. Berlusconi (Fininvest Rete Italia), M. Kirch (Beta Taurus) et le 'tristement célèbre M. Maxwell, a éclaté au début de 1989 après le retrait du partenaire français. Il s'était orienté vers le développement de projets de prestige (mini-séries de 4 heures ayant pour un budget de l'ordre de 30 MF), après s'être vu retirer la concession de deux canaux sur le satellite TDF 1.

mediametrie.fr

passion-dakar.com

  • Logo apparaissant sur les cassettes vidéos, le siège et les voitures de la chaîne [1] ; Cassette vidéo Guy Montagné, La Cinq vidéo [2] ; Cassette vidéo Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [3] ; Autocollant Paris - Le Cap 1992, La Cinq vidéo [4] ; Siège de La Cinq en décembre 1991

peteryu.com

planete-jeunesse.com

sacd.fr

sacem.fr

repertoire.sacem.fr

samizdat.net

reflexes.samizdat.net

senat.fr

  • STATUTS DE LA SOCIÉTÉ FRANCE 5.
  • « Séance vendredi 18 juillet 1986 », sur senat.fr S'agissant des délais de programmation : service public, trois ans, et deux ans en cas de coproduction ; Canal plus, un an ; cinquième chaîne, deux ans jusqu'en 1990, puis application des règles du service public avec dérogation ; sixième chaîne, trois ans, deux ans en cas de coproduction avec des dérogations possibles ; réseaux câblés, trois ans, et deux ans en cas de coproduction. (...) S'agissant des quotas de films français : service public, 50 p. 100 ; Canal plus, 50 p. 100 ; • cinquième chaîne, 25 p. 100 sur cinq ans, puis application des règles du service public ; sixième chaîne, 50 p. 100 ; réseaux câblés, 50 p. 100. S'agissant des quotas de films pour la Communauté économique européenne : service public, 60 p. 100 ; Canal plus, 60 p. 100 ; cinquième chaîne, 25 p. 100 ; sur cinq ans, puis règles du service public ; sixième chaîne, 60 p. 100 ; réseaux câblés, 60 p. 100. S'agissant des grilles de programmation des œuvres cinématographiques : il est interdit au service public de diffuser des films le samedi et le dimanche avant vingt heures trente, le mercredi et le vendredi soir, sauf après vingt-deux heures trente ; Canal plus, interdiction samedi avant vingt-trois heures, dimanche avant dix-huit heures, mercredi et vendredi avant vingt et une heures ; cinquième chaîne, les mêmes règles que le service public, mais la diffusion de films est autorisée les samedis et dimanches en matinée ; la sixième chaîne se voit appliquer les mêmes règles que la Cinq et le réseau câblé, celles du service public. Enfin, s'agissant du nombre annuel des films, service public : F.R.3, 210 : T.F.1 et Antenne 2, 170 ; Canal plus, 365 ; cinquième chaîne, 250 et sixième chaîne, 150. Aucun quota n'est fixé pour les réseaux câblés. Cet état des lieux démontre à l'évidence que Canal plus est une chaîne privilégiée et que la Cinq et T.V.6 se sont vu attribuer des conditions préférentielles, du moins pendant un temps, par rapport au service public.
  • « Séance vendredi 18 juillet 1986 », sur senat.fr Il n'est pas dû au hasard que, parmi les signataires de l'appel d'Aubervilliers, que nous avons remis à M. le ministre de la culture et de la communication dès le début de ce débat, figurent de nombreux grands noms du cinéma : Bernard Giraudeau, François Chaumette, Pierre Arditti [sic], Gérard Blain, Marcel Bluwal, Mauriçe Dugowson, Annie Duperrey [sic], Jacques Fansten, Philippe Léotard (Sourires), Stellio Lorenzi, Jean Rochefort, Bertrand Tavernier, Claude Santelli et de nombreux autres que nous pourrions citer encore.

siggraph.org

histoire3d.siggraph.org

societe.com

sudouest.fr

taradji.com

toutelatele.com

  • « Farandole », sur Toutelatele.com (consulté le ).
  • « Collaricocoshow », sur Toutelatele.com (consulté le ).

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washingtonpost.com

  • Hector Felciano, « COLORIZED FILM BARRED BY FRENCH », sur washingtonpost.com, (consulté le )La première fois qu'un tribunal a confirmé le droit moral d'un cinéaste américain en France remonte aux années 1950, lorsque l'acteur-réalisateur-producteur Charlie Chaplin s'opposait à la bande originale ajoutée à son film muet The Kid
  • Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le )La diffusion du film de Huston aurait été la première fois qu'un film colorisé apparaissait à la télévision française.
  • Hector Felciano, « JUDGE BARS AIRING OF COLORIZED FILM », sur washingtonpost.com, (consulté le )La Cinq prévoyait de diffuser "Quand la ville dort" colorisée à une heure de grande écoute, suivie de la version en noir et blanc du film de 1950 avec Sterling Hayden plus tard dans la nuit. Un débat sur la colorisation était également prévu.

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