(de) Theodor Merzdorff, Die Geheimstatuten des Ordens der Tempelherren nach der Abschrift eines Vorgeblich im vatikanischen Archive befindlichen Manuscriptes zum ersten Male in der lateinischen Urschrift und in deutscher Uebersetzung, Halle-sur-Saale, G. Schwetschke'scher Verlag, (OCLC13352776, présentation en ligne) - traduit en français dans René Gilles, Les Templiers sont-ils coupables ? Leur histoire, leur règle, leur procès, Paris, M. Dauer, , 223 p. (présentation en ligne)
Traducteur d'un des manuscrits de la règle officielle du Temple : (de) Friedrich Münter, Statutenbuch des Ordens der Tempelherren : aus einer altfranzösischen Handschrift, , X + 496 (OCLC18454658, lire en ligne)
Tel qu'il est orthographié dans de nombreux ouvrages. Il s'agit en fait de Robert de Sandford, maître de la province d'Angleterre entre 1229 et 1248, cf. (en) Evelyn Lord, The Templar's Curse, Pearson Education, , 200 p. (lire en ligne), p. 93.
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Franc-maçonnerie, de l’anglais freemason, composé de free (« libre ») et mason (« maçon »). Le mot anglais est attesté depuis le XIVe siècle et désignait des compagnons et maitres bâtisseurs, itinérants et de grande qualification, selon la définition du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales, consultable ici
Cité par Paul Arnold, La Rose Croix et ses rapports avec la franc-maçonnerie,G.-P. Maisonneuve & Larose, 1970, p.237 - texte complet dans Claude-Antoine ThoryActa latomorum ou Chronologie de l'histoire de la franche-maçonnerie française et étrangère, Dufart, 1815, tome 1, p. 329 [1]
Texte complet dans Jean-Marie Ragon, Orthodoxie maçonnique : suivie de la Maçonnerie occulte, et de l’Initiation hermétique, Dentu, 1853, p. 251 [2]
Essai sur les accusations intentées aux Templiers, et sur le secret de cet ordre, Changuion, 1783 [lire en ligne]
Sous l'un des socles où l'arche est représentée, on lit l'inscription gravée en onciale gothique : HIC AMMTVP. (pour : amittitur) ARCHA (pour: arca) CEDERIS (pour: federis), signifiant « Ici, ils — Les Philistins — renoncent à l'arche et la laissent ». Les amateurs d'ésotérisme préfèrent utiliser les fautes du lapicide pour traduire « Ici est enterrée l'arche d'alliance ». Cf. Jean-Pierre Adam, Le passé recomposé : chroniques d'archéologie fantasque, Seuil, , p. 1988.
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(de) Theodor Merzdorff, Die Geheimstatuten des Ordens der Tempelherren nach der Abschrift eines Vorgeblich im vatikanischen Archive befindlichen Manuscriptes zum ersten Male in der lateinischen Urschrift und in deutscher Uebersetzung, Halle-sur-Saale, G. Schwetschke'scher Verlag, (OCLC13352776, présentation en ligne) - traduit en français dans René Gilles, Les Templiers sont-ils coupables ? Leur histoire, leur règle, leur procès, Paris, M. Dauer, , 223 p. (présentation en ligne)
Traducteur d'un des manuscrits de la règle officielle du Temple : (de) Friedrich Münter, Statutenbuch des Ordens der Tempelherren : aus einer altfranzösischen Handschrift, , X + 496 (OCLC18454658, lire en ligne)