« Tell … to go in shape. It looks like another war. I have always been a Communist. I have tried to enlist in the Japanese Army, last war, now they will never draft or accept me in the U.S. Army. Everyone has always said … Malcolm is crazy so it isn’t hard to convince people that I am. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 7 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir une lettre du 23 septembre 1952 : « I had dinner in Chicago last week with our Leader. He is All-Wise. The words which flow from His Lips prove that Allah is the Best-Knower, and that Allah Himself taught our Leader. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 9 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).
archive.org
(en-US) Manning Marable, Malcolm X: A Life of Reinvention, Viking, , 630 p. (ISBN9780670022205, lire en ligne), p. 66-78
(en-US) Michael Eric Dyson, Making Malcolm: The Myth And Meaning Of Malcolm X, Oxford University Press, USA, , 221 p. (ISBN9780195092356, lire en ligne), p. 58-60
biography.com
(en-US) « Betty Shabazz », sur Biography (consulté le )
« My confinement is of a different type; I’m just completing my fourth year of an 8 to 10 year term in prison… but these four years of seclusion have proven to be the most enlightening years of my 24 years upon this earth and I feel this ‘gift of Time’ was Allah’s reward to me as His way of saving me from the certain destruction for which I was heading. » Lettre issue d'une vente aux enchères, disponible sur brothermalcolm.net.
Voir aussi sur la conversion une lettre dans laquelle il demande à un certain Raymond : « Tell me all about yourself how you came to the Truth… and every thing else that you care to speak of » (Dis-moi tout de tout, comment tu en vins à la Vérité… et tout ce que tu veux me dire). Texte disponible sur brothermalcolm.net.
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
« The National Officials there at Chicago Headquarters know that I never left the Nation of Islam on my own free will. It was they who conspired with Captain Joseph here in New York to pressure me out of the Nation. In order to save the National Officials and Captain Joseph the disgrace of having to explain … for forcing me out, I announced through the press that it was my own decision to leave. // I did not take the blame to protect those National Officials, but to preserve the faith your followers have in you and the Nation of Islam ». Texte complet de la lettre disponible ici (autre version).
cliffsnotes.com
(en-US) « Louise Little », sur www.cliffsnotes.com (consulté le ).
Keisha N. Blain, Christopher Cameron et Ashley D. Farmer, « INTRODUCTION: », dans New Perspectives on the Black Intellectual Tradition, Northwestern University Press (lire en ligne), p. 3–16
« The Making of the Humanities VII: University of Amsterdam, November 15–17, 2018 », History of Humanities, vol. 3, no 2, , p. 463–463 (ISSN2379-3163 et 2379-3171, DOI10.1086/699322, lire en ligne, consulté le )
(en-US) Christopher Phelps, « The Sexuality of Malcolm X », Journal of American Studies, Volume 51 ,n° 3, , p. 659 - 690 (31 pages) (DOI10.1017/S0021875816001341)
encyclopedia.com
(en-US) « Malcolm X », sur encyclopedia.com (consulté le )
farrakhanfactor.com
Voir le chapitre 55 de Message to the Blackman in America, par Elijah Muhammad, 1965(consulté le 4 juillet 2017).
fbi.gov
foia.fbi.gov
« Tell … to go in shape. It looks like another war. I have always been a Communist. I have tried to enlist in the Japanese Army, last war, now they will never draft or accept me in the U.S. Army. Everyone has always said … Malcolm is crazy so it isn’t hard to convince people that I am. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 7 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir une lettre du 23 septembre 1952 : « I had dinner in Chicago last week with our Leader. He is All-Wise. The words which flow from His Lips prove that Allah is the Best-Knower, and that Allah Himself taught our Leader. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 9 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
Dans les dossiers du FBI apparaissent la reproduction de lettres du début des années 1950, que X signe sous le nom de Malachi Shabazz, une version très proche de son nouveau nom musulman de 1964. Voir par exemple la page 10 du dossier PDF [1].
« Tell … to go in shape. It looks like another war. I have always been a Communist. I have tried to enlist in the Japanese Army, last war, now they will never draft or accept me in the U.S. Army. Everyone has always said … Malcolm is crazy so it isn’t hard to convince people that I am. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 7 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir une lettre du 23 septembre 1952 : « I had dinner in Chicago last week with our Leader. He is All-Wise. The words which flow from His Lips prove that Allah is the Best-Knower, and that Allah Himself taught our Leader. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 9 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).
« The Making of the Humanities VII: University of Amsterdam, November 15–17, 2018 », History of Humanities, vol. 3, no 2, , p. 463–463 (ISSN2379-3163 et 2379-3171, DOI10.1086/699322, lire en ligne, consulté le )
(en-US) « Malcolm X Organization of Afro‐American Unity », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
(en-US) The Associated Press, « Ella Collins, 82, Relative Who Aided Malcolm X », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
(en-US) Corey Kilgannon, « Remembering Malcolm X in the Place Where He Fell », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
« The National Officials there at Chicago Headquarters know that I never left the Nation of Islam on my own free will. It was they who conspired with Captain Joseph here in New York to pressure me out of the Nation. In order to save the National Officials and Captain Joseph the disgrace of having to explain … for forcing me out, I announced through the press that it was my own decision to leave. // I did not take the blame to protect those National Officials, but to preserve the faith your followers have in you and the Nation of Islam ». Texte complet de la lettre disponible ici (autre version).
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).
monde-diplomatique.fr
Sylvie Laurent, « « Ce que la Palestine m’a appris du racisme aux États-Unis » », Le Monde diplomatique, (lire en ligne, consulté le ).
« Nous croyons que les mariages mixtes ou le mélange des races devraient être interdits » : Elijah Muhammad, The muslim program, site officiel de la NOI.
The Hate That Hate Produced ; voir sur ce point Make it Plain, BBC ou la vidéo de l'une des émissions sur Google Video.
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).
« Tell … to go in shape. It looks like another war. I have always been a Communist. I have tried to enlist in the Japanese Army, last war, now they will never draft or accept me in the U.S. Army. Everyone has always said … Malcolm is crazy so it isn’t hard to convince people that I am. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 7 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir une lettre du 23 septembre 1952 : « I had dinner in Chicago last week with our Leader. He is All-Wise. The words which flow from His Lips prove that Allah is the Best-Knower, and that Allah Himself taught our Leader. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 9 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).
« Tell … to go in shape. It looks like another war. I have always been a Communist. I have tried to enlist in the Japanese Army, last war, now they will never draft or accept me in the U.S. Army. Everyone has always said … Malcolm is crazy so it isn’t hard to convince people that I am. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 7 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Voir une lettre du 23 septembre 1952 : « I had dinner in Chicago last week with our Leader. He is All-Wise. The words which flow from His Lips prove that Allah is the Best-Knower, and that Allah Himself taught our Leader. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 9 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
Malcolm X est alors considéré comme le « Traveling Minister of Temple #7, NYC of the Muslim Cult of Islam, 102 West 116th Street, NY, NY. » Tiré du dossier du FBI sur Malcolm X : partie I, p. 61 ; disponible « ici »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ). L'adresse exacte, 113 Lenox Avenue, est donnée dans certaines lettres de Malcolm à d'autres meneurs du mouvement des droits civiques, comme cette lettre adressée à Martin Luther King (autre version ; lettre à Whitney Young : ici et ici).
Voir sa déclaration de foi : lien vers le manuscrit. Malcolm X fait ici référence non pas à Elijah Muhammad, mais bien au prophète Mahomet. On remarquera donc que c'est une manière de revenir sur certaines des affirmations de membres de Nation of Islam qui associaient Elijah Muhammad à la notion de prophète. En réalité, Malcolm réfutait déjà cette idée dès 1963 (voir la vidéo disponible sur « Google Video »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) d'un entretien dans l'émission City Desk où il explique ceci), qualifiant Elijah Muhammad de « messager » (Messenger).