Dans ce livre, Thomas Pope traite des ponts suspendus sud-américains ainsi que du pont suspendu de Finley. Ce livre est cité par Claude Navier dans le Rapport à Monsieur Becquey de 1830 concernant les ponts suspendus. [lire en ligne]
La construction de la ligne est autorisée par une loi adoptée par le parlement britannique le après deux premières tentatives infructueuses en 1818 et 1819. En 1823, est voté un amendement à la loi afin de retenir le tracé étudié par George Stephenson qui suggéra, par ailleurs, d’y insérer une disposition autorisant l’emploi de locomotive à vapeur pour la traction des trains. George Stephenson avait déjà construit en 1814 une première locomotive à vapeur, la « Blücher », pour les houillères de Killingworth(en), où il était employé comme mécanicien chargé de la surveillance et de l’entretien des machines à vapeur utilisées pour l’exhaure des puits de mine.
Raymond de Montgolfier (1730-1772), grand-père maternel de Marc Seguin, est l'un des frères d'Étienne (1745-1799) et Joseph (1740-1810), les aérostiers ; il épouse Catherine Devant. Le couple a pour enfant Augustine Marie Thérèse de Montgolfier (1764-1843), épouse de Marc François Seguin (1757-1832) (les parents de Marc). Il a également pour enfant Jeanne Catherine de Montgolfier (1770-1825), épouse de Mathieu Louis Pierre Duret (1758-1841) (les parents de Rose Augustine Duret). Marc Seguin et sa première épouse sont donc cousins germains. Les parents de Rose Augustine Duret sont également ceux de Pauline Claudine Duret (1793-1851), épouse de Louis Simon Élie Ascension de Montgolfier (1784-1864). Marie Augustine de Montgolfier (1819-1890) est l'une des enfants de ce dernier couple ; elle est par conséquent la nièce de Marc Seguin, mais elle est surtout sa seconde épouse.
Depuis Marc l'ancêtre, la filiation agnatique attribue ce même premier prénom Marc à l'aîné de la lignée.
Théoriquement n'importe quelle fibre végétale longue, fine et solide peut permettre de faire du papier, mais le bois reste la première source de pâte à papier. Les rondins sont broyés et convertis en fibres diluées dans une solution à 4 %, qui servira à fabriquer le papier. Le principe de fabrication est toujours resté celui de la formation de la feuille induite par le séchage en quelques secondes d'un mince film de pâte à papier liquide sur un feutre.
Cette deuxième réalisation plus en aval est toujours en service à ce jour. Elle échappe à une défiguration inéluctable au XXe siècle, en raison de la mise en place en 1958 du troisième pont à Tournon (pont Gustave Toursier)[55] en aval des deux premiers. En 1989, elle est alors restaurée en respect des techniques historiques, son tablier en bois conservé, adapté au trafic piétonnier. À noter que pendant la cohabitation des trois ponts (1958-1965) les mariniers du Rhône se plaignaient de la difficulté de passage des trois ponts successifs.
" La Compagnie du chemin de fer de Saint-Étienne à Lyon se constitua en 1826 avec un capital de 10 millions de francs, partagé en 2 000 actions ; parmi les actionnaires, on note Jean-Baptiste Biot (en fait son fils Edouard) et le baron Thénard (membres de l'Institut), le comte Alexis de Noailles (député, aide de camp du roi et ministre d'État), Arnould Humblot-Conté (animateur d'une fabrique de crayons), etc. L'appui porté par ces souscripteurs de la première heure suppose, de leur part, une certaine clairvoyance, qui, dix ans plus tard, fera encore défaut à des personnalités éminentes du monde savant ou de la politique, comme Arago et Thiers. Notons qu'il n'y eut pas un stéphanois ni un forézien parmi les souscripteurs, et un seul lyonnais[74] !