« Dans deux mois et quelques jours, le Tour de France quittera Paris. Ce n’est pas “toute” la saison, comme certains confrères ont tendance à le croire. Mais c’est l’épreuve capitale du mois de juillet, le “monument” du cyclisme international. » (« Préparez-vous et dormez bien, vous courrez le Tour de France », Paris-Soir, .)
« Le dos de Faber, c’est un monument, comme une porte d’écluse, quelque chose derrière quoi l’on peut attendre, impavide, les tempêtes et les aquilons ; c’est en même temps un coupe-vent, un pare-soleil, un mur derrière lequel se passe toute une partie de la course. » (Henri Desgrange, « Le XIIe Tour de France. Après la première. À l’étape », L’Auto, (lire en ligne).)
« [J]e me suis souvent posé cette question, en particulier lors de ma dernière victoire à l’Amstel Gold Race en 2017 : pourquoi ne pourrait-elle pas, elle aussi, être intégrée à la catégorie des monuments ? Parce qu’elle est plus jeune, du fait qu’elle a été créée en 1966 ? » (Philippe Gilbert, « Philippe Gilbert: «L’Amstel mériterait le titre de monument» », Le Soir, (lire en ligne).)
« Le dos de Faber, c’est un monument, comme une porte d’écluse, quelque chose derrière quoi l’on peut attendre, impavide, les tempêtes et les aquilons ; c’est en même temps un coupe-vent, un pare-soleil, un mur derrière lequel se passe toute une partie de la course. » (Henri Desgrange, « Le XIIe Tour de France. Après la première. À l’étape », L’Auto, (lire en ligne).)