J.-B. Giraud, « Notes sur les origines des musées archéologiques de la ville de Lyon. Moyen Âge et Renaissance », Revue d'histoire de Lyon : études, documents, bibliographie, vol. 5, , p. 18-33 (lire en ligne, consulté le )
cnrtl.fr
Le "médailler" désigne ici la collection de médailles et de monnaies anciennes du musée: [1]: déf. sur cnrtl.fr.
Damasquiner: décorer une surface métallique par incrustation au marteau, de petits fils de métal, or, argent, cuivre ...[2]
Ce guerrier aux formes schématiques et d'une grande tension peut être comparé avec des sculptures du même sujet, associés à un « Todi workshop » par les chercheurs anglo-saxons, comme les guerriers de Harvard, celui de la collection Ortiz et celui du Met. Les Étrusques ont introduit en Italie l'armement lourd du hoplite et la maîtrise du combat en phalange, qui leur assure la supériorité, pour un temps. (Dominique Briquel, Les Étrusques, Que sais-je 645, 2005-2016, p. 60.)
Ce guerrier aux formes schématiques et d'une grande tension peut être comparé avec des sculptures du même sujet, associés à un « Todi workshop » par les chercheurs anglo-saxons, comme les guerriers de Harvard, celui de la collection Ortiz et celui du Met. Les Étrusques ont introduit en Italie l'armement lourd du hoplite et la maîtrise du combat en phalange, qui leur assure la supériorité, pour un temps. (Dominique Briquel, Les Étrusques, Que sais-je 645, 2005-2016, p. 60.)
Tête d'Aréthuse à gauche, portant un pendant d'oreille et un collier, encadrée de quatre dauphins. Revers d'un décadrachme d'argent de Syracuse, Sicile, frappée vers 400 av. J.-C. Diam. 3.6 cm. Musée des Beaux-Arts de Lyon. Inv. GR 71 "Ce décadrachme de Syracuse (sous Denys l'Ancien), sculpté par Évainète (?-345 av. J.-C.) est considéré comme l'une des plus belles monnaies connues." : in Geneviève Galliano et al., 2014, p. 56. Voir aussi : Fiche-œuvre sur le site du musée.
Ce guerrier aux formes schématiques et d'une grande tension peut être comparé avec des sculptures du même sujet, associés à un « Todi workshop » par les chercheurs anglo-saxons, comme les guerriers de Harvard, celui de la collection Ortiz et celui du Met. Les Étrusques ont introduit en Italie l'armement lourd du hoplite et la maîtrise du combat en phalange, qui leur assure la supériorité, pour un temps. (Dominique Briquel, Les Étrusques, Que sais-je 645, 2005-2016, p. 60.)
persee.fr
Yon Marguerite, « Les antiquités chypriotes au Musée des Beaux-Arts de Lyon », Cahiers du Centre d'Études Chypriotes, volume 42, 2012, p. 181-225, lire en ligne.