Encyclopédie du protestantisme (ISBN2-13-055415-6) (BNF40934487) sous la direction de Pierre Gisel, Quadrige dicopoches, PUF (plus particulièrement à l'entrée « pentecôtisme », page 1058). Autre source : Les évangéliques à la conquête du monde (ISBN978-2-2620-2760-5) (BNF41430555) par Patrice de Plunkett, éditions Perrin. Hors-série de l'hebdomadaire Le Point, intitulé Dieu (no 2049-2050), p. 172.
« L’Église locale accueille comme membres, à leur demande, ceux qui reconnaissent que « Jésus-Christ est le Seigneur » », Discipline de l'Église réformée de France, voir http://www.eglise-reformee-fr.org.
Le site du Conseil National des Églises Évangéliques de France publie des « statistiques évangéliques globales 2012 (incluant les Pentecôtistes), « validées » en janvier 2012 par le chercheur Sébastien Fath, chercheur au CNRS. Pour 2012, ces statistiques aboutissent à environ 550 millions de chrétiens évangéliques répartis comme suit : Asie : environ 180 millions (dont Chine 60 millions, Inde 25 millions, Indonésie 15 millions, Philippines 13 millions, Corée du Sud 10 millions) ; Afrique : 150 millions (dont Nigeria 45 millions, Kenya 20 millions, Congo RDC 15 millions, Éthiopie 14 millions, Afrique du Sud 11 millions) ; Amérique latine : environ 100 millions (dont Brésil 40 millions, Mexique 10 millions, Guatemala 5 millions, Argentine 5 millions) ; Amérique du Nord : environ 95 millions (dont États-Unis 91 millions, Canada 3 millions) ; Europe : environ 20 millions (dont Royaume-Uni 5 millions, Russie 2 millions, Ukraine 2 millions, Roumanie 2 millions, Allemagne 2 millions) ; Océanie : environ 7 millions (dont Australie 3 millions, Papouasie-Nouvelle-Guinée 2 millions, Nouvelle-Zélande 1 million) ; [1], site consulté le 4 novembre 2013.
lefigaro.fr
Les évangéliques s’imposent chez les protestants français, Le Figaro, (lire en ligne).
Avec 58 millions de protestants en 2010, la Chine talonne le Nigéria (59,6 millions) mais reste loin des États-Unis (159,5 millions). Voir (en) « Christian Traditions », sur le site du Pew Research Center, (consulté le ).
Olivier Brès, président de la Fédération d'entraide protestante, texte de présentation pour le cahier synodal, synode ERF Région PACA, 16-17-18 novembre 2007, [2].
Les protestants français, d'abord appelés « luthériens » au début par leurs adversaires, seront ensuite nommés par dérision « huguenots », puis « religionnaires ». Il s'agit de l'abréviation de ceux de la « Religion prétendue réformée » ou « R. P. R. », appellation officielle du protestantisme dans les actes royaux (d'après Jean-Louis Guez de Balzac dans le Socrate Chrestien, 10e discours (1623) sur la meilleure façon de nommer les protestants).