(en) Billie Brand, « The Sixth Sense: Rei Kawakubo reinterprets her cult magazine SIX for Dover Street Market's new windows », Fashion, sur dazeddigital.com, Dazed & Confused, (consulté le )« Wanting to explore the idea of the sixth sense, she transported her rebellious attitude from design to print and created Six in 1988. The unstapled, A3 biannual publication was shrouded in mystery. Not a single word was printed on the inside of the eight issues that marked the new season’s collection. »
elle.fr
« Rei Kawakubo », Personnalités, sur elle.fr, Elle (consulté le )
Catherine Örmen (préf. Inès de La Fressange), Un siècle de mode, Paris, Éditions Larousse, coll. « Les documents de l'Histoire », , 128 p. (ISBN978-2-03-587455-9, présentation en ligne), « Yohji Yamamoto, l'imagination au pouvoir », p. 114« Yohji Yamamoto présente pour la première fois ses collections à Paris en 1981, en même temps qu'une autre de ses compatriotes, Rei Kawakubo, pour Comme des Garçons. Les deux créateurs font sensation. »
Florence Evin, « L'éloge de l'ombre de Rei Kawakubo », sur Le Monde, (consulté le )« un petit comité (280 invités), trié sur le volet, assistait au défilé de Rei Kawakubo, pour sa marque Comme des garçons. La collection de la créatrice japonaise, adulée par ses pairs, depuis sa venue à Paris en 1981, était très attendue. »
Sandrine Merle, « Peinture & Chiffons », Les Échos, supplément Série Limitée, (lire en ligne, consulté le )« Certains créateurs vont jusqu'à fusionner l'art et la mode avec des vêtements conceptuels. Parmi eux, Rei Kawakubo : la fondatrice de Comme des garçons propose des pièces déconstruites, évolutives ou déséquilibrées. »
lexpress.fr
Leloup Michèle, « Costume de rigueur » , sur lexpress.fr, L'Express, (consulté le )« Pour sa collection homme automne-hiver 95, l'hystérie vestimentaire bien connue de Rei Kawakubo confine, cette fois, au cauchemar. À l'heure où l'on commémore la libération des camps de la mort, la styliste de Comme des garçons vient de présenter des pyjamas rayés »
Gérard Lefort, Olivier Séguret et Anne Boulay, « Prêt-à-porter printemps-été 1999. L'avant-garde-robe est japonaise. », sur next.liberation.fr, Libération, (consulté le )« Au début des années 80, les Japonais conquerraient Paris en le prenant à rebours. En provenance directe d'un Orient moderne qui nous semblait aussi futuriste qu'étrange et inventif que lointain, ils comblaient les vides béants de la mode occidentale avec un pessimisme massif et une austérité radicale, imposant le noir à tous les étages du corps et donc de l'esprit. »
Loïc Prigent, « La cap-hornière de l'ourlet », Mode, sur next.liberation.fr, Libération, (consulté le )« En fait de pointu, Rei Kawakubo l'est tellement qu'elle n'est même plus au bord de la falaise, cela fait longtemps qu'elle en est tombée et qu'elle nage dans des eaux inconnues. Au large du cap Horn de l'ourlet. Chacun de ses défilés est un morceau de bravoure. »
Anne-Cécile Sanchez, « Les garçons du Faubourg », sur Le Point, (consulté le )« Une profession de foi toujours réitérée par celle qui, depuis vingt ans, ne cesse de bousculer les habitudes vestimentaires au mépris d’une mode qu’elle finit, toujours, par influencer. Portée aux nues par les uns, décriée par les autres, Rei Kawakubo dure. »