(en) JoAnne Myers, The A to Z of the Lesbian Liberation Movement : Still the Rage, Scarecrow Press, , 360 p. (ISBN978-0-8108-6327-9, lire en ligne), p. xv.
Hugh Lloyd-Jones, « Sappho's Poetry - Édith Mora: Sappho. Histoire du poète et traduction intégrale de l'œuvre. 462 p. Paris, Flammarion, 1966. Paper, 30 fr. », The Classical Review, vol. 17, no 3, , p. 269–271 (ISSN0009-840X et 1464-3561, DOI10.1017/s0009840x00324751, lire en ligne, consulté le ).
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(en) Will Durant, The Life of Greece (The Story of Civilization, Volume II), New York, Simon and Schuster, , 756 p. (lire en ligne), p. 156.
Théodore Reinach, La Musique grecque, Paris, Payot, coll. « collection Payot » (no 49-50), , 208 p. (OCLC1292133, lire en ligne), p. 126 pour le barbitos et p. 127 pour la magadis et la pectis.
issn.org
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Hugh Lloyd-Jones, « Sappho's Poetry - Édith Mora: Sappho. Histoire du poète et traduction intégrale de l'œuvre. 462 p. Paris, Flammarion, 1966. Paper, 30 fr. », The Classical Review, vol. 17, no 3, , p. 269–271 (ISSN0009-840X et 1464-3561, DOI10.1017/s0009840x00324751, lire en ligne, consulté le ).
Ainsi Ernest Falconnet (1834) : « […] confusion involontaire de la Sappho de Lesbos avec une autre Sappho d'Érèse, courtisane célèbre, née postérieurement et auteur, selon Suidas, de quelques poésies lyriques. Par suite de cette erreur, plusieurs auteurs anciens, et entre autres Ovide, ont attribué à la poétesse de Mitylène plusieurs faits qui appartiennent à la Sappho d'Érèse, et surtout sa passion pour Phaon (Les deux Sappho) ; Remy de Gourmont : « Quant aux poètes et aux érudits modernes qui en ont parlé, que ce soit Renée Vivien ou M. Mario Meunier, ils n'ont pas attendu M. Théodore Reinach pour différencier Sappho d'Erèse, la courtisane, plastron des comiques grecs, d'avec Sappho de Mytilène, que Platon nomme la dixième muse. » (Notice sur Renée Vivien (1912)).
Ainsi Ernest Falconnet (1834) : « […] confusion involontaire de la Sappho de Lesbos avec une autre Sappho d'Érèse, courtisane célèbre, née postérieurement et auteur, selon Suidas, de quelques poésies lyriques. Par suite de cette erreur, plusieurs auteurs anciens, et entre autres Ovide, ont attribué à la poétesse de Mitylène plusieurs faits qui appartiennent à la Sappho d'Érèse, et surtout sa passion pour Phaon (Les deux Sappho) ; Remy de Gourmont : « Quant aux poètes et aux érudits modernes qui en ont parlé, que ce soit Renée Vivien ou M. Mario Meunier, ils n'ont pas attendu M. Théodore Reinach pour différencier Sappho d'Erèse, la courtisane, plastron des comiques grecs, d'avec Sappho de Mytilène, que Platon nomme la dixième muse. » (Notice sur Renée Vivien (1912)).
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ccrh.revues.org
Claude Calame, « Les sciences de l’Antiquité », les Cahiers du Centre de recherches historiques, no 37, 2006, § 29-35. [lire en ligne].
Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, Paris, Garnier-Flammarion, , 252 p. (ISBN978-2-08-070007-0), note page 159. Lire en ligne le poème dans la première édition du recueil (le nom de la poétesse y est écrit "Sapho").
Théodore Reinach, La Musique grecque, Paris, Payot, coll. « collection Payot » (no 49-50), , 208 p. (OCLC1292133, lire en ligne), p. 126 pour le barbitos et p. 127 pour la magadis et la pectis.
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en.youscribe.com
Dirk Obbinkk, Two New Poems by Sappho, version préliminaire en ligne d'un article à paraître dans le Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik (ZPE), no 189, 2014, en ligne sur le site Youscribe. Page consultée le 31 janvier 2014.