Sculpture romaine (French Wikipedia)

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  • Penelope J. E. Davies, « The Politics of Perpetuation : Trajan's Column and the Art of Commemoration »[49], American Journal of Archaeology, vol. 101, 1997.

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  • Alexandra Dardenay, « Rome, les Romains et l’art grec : translatio, interpretatio, imitatio, aemulatio », dans études réunies par Corinne Bonnet et Florence Bouchet, "Translatio" : traduire et adapter les Anciens, Classiques Garnier, (ISBN 978-2-8124-0860-1, SUDOC 171779282, lire en ligne), p. 119.

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  • "Mercure tenant le caducée", d'époque gallo-romaine. Argent presque pur, H. 56,3 cm., daté 150/225 EC. Cabinet des médailles de la Bnf : [57] et [58]. Voir aussi "Le luxe dans l'Antiquité : trésors de la Bibliothèque Nationale de France" (SUDOC 203084896), 2017, p.28-55, p.94-96, fig.5-6, n°66, p.249-253. « Il s'agit soit d'un imposant ex-voto soit d'une statue de culte. » Trésor de Berthouville (extrait du cartel)
  • Médailles et antiques, BnF : [74].
  • Notice de la BnF: [75]

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  • Hadrien plus grand que nature, divinisé : British Museum [23].

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  • Compte rendu : (en) Mary-Anne Zagdoun, « The Ancient Art of Emulation: Studies in Artistic Originality and Tradition from the Present to Classical Antiquity. Memoirs of the American Academy in Rome, Supplementary Volume I », Bryn Mawr Classical Review,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  • Destructions des sculptures à la fin de l'Antiquité : Béatrice Caseau, « Le sort de la statuaire à la fin de l’Antiquité », Techne, no 40 « Thérapéia. Polychromie et restauration de la sculpture dans l’Antiquité : IV. Destruction et renaissance »,‎ , p. 106-113 (lire en ligne, consulté le ). L'empire romain a aussi connu la destruction en raison d'une "damnatio memoriae" (la « condamnation à l'oubli ») de certaines personnalités (en) Silke Knippschild, « Mutilation and Transformation, Damnatio Memoriae and Roman Imperial Portraiture (compte rendu) », Bryn Mawr Classical Review,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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  • Stéphane Benoist, « La cérémonie de consecratio : IIe-IIIe siècles après notre ère », dans Rome, le prince et la Cité : Pouvoir impérial et cérémonies publiques (Ier siècle av. - début du IVe siècle apr. J.-C.), PUF, (ISBN 9782130539094, SUDOC 084721286, lire en ligne), p. 147 à 188, texte intégral en ligne (SUDOC 185963846).

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  • Museum of Classical Archaeology Databases, Cambridge University : Idolino et National Gallery of Art [21]

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  • (en) Rosemary Barrow, « 7- The Incongruous Body: Portrait of ‘Marcia Furnilla’ as Venus », dans Rosemary Barrow, Gender, Identity and the Body in Greek and Roman Sculpture, Cambridge University Press, (ISBN 1-107-03954-1, SUDOC 231954778, lire en ligne).

capitolini.info

  • Cette statue, trouvée dans les ruines du Forum de Nerva (Temple de Mars vengeur ?) à Rome au XVIe siècle, est datée, avec une forte probabilité, du début du IIe siècle EC en raison de son style (soit la fin du règne de Trajan, soit le début de celui d'Hadrien). Il s’agit d’une copie d’un original de l’époque augustéenne, lui-même basé sur un modèle grec hellénistique du IVe siècle AEC. (« Statue colossale de Mars Vengeur », sur Musées du capitole, (consulté le ).)
  • (en) « Statue of a Camillus », sur Musei Capitolini (consulté le ).

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college-de-france.fr

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  • Un exemple de cette innombrable variété de statuettes en terre cuite: Isabelle Hasselin Rous, « Les figurines en terre cuite de Tarse en Cilicie à l’époque romaine impériale », Anatolia Antiqua, no XXVII,‎ , p. 99-107 (lire en ligne, consulté le ).

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  • Victoire en vol, Musée de La Cour d'Or, Metz : [55].

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  • « Cette tête est tout ce qui reste d'une statue colossale d'environ 2,60 mètres. Le corps aurait été idéalisé et l'empereur serait représenté comme un chef de guerre cuirassé. Longtemps considérée comme un portrait posthume, cette tête peut être datée des premières années du règne d'Hadrien, de 118 à 121 AEC. » Référence : [25] :Exhibition: Three bronze portraits of Hadrian at the Louvre, Paris. (followinghadrian.com , August 8, 2018).
  • (en) « Exhibition: Three bronze portraits of Hadrian at the Louvre, Paris [Louvre : “Portraits en bronze de l’empereur Hadrien”] », sur Following Hadrien, (consulté le ). Notice de la tête en bronze, du Louvre, datée entre 125 et 150 EC : [26].

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  • Yvon Lemoine, « La sculpture romaine en matériaux locaux de la cité de Forum Julii (Fréjus, Var) », dans Hélène Aurigny et Vassiliki Gaggadis-Robin (éditrices), Nouvelles recherches sur la sculpture en calcaire en Méditerranée : journée d’études du 19 juin 2018, Aix-en-Provence, Centre Camille Julian, (lire en ligne).

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  • Jérémy Seguin, « La « Diane chasseresse » au musée d’Aquitaine de Bordeaux », Revue des études anciennes,‎ (lire en ligne, consulté le ). Artémis Rospigliosi. Pergame IIe siècle AEC. Louvre Collections [46].

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  • "Mercure tenant le caducée", d'époque gallo-romaine. Argent presque pur, H. 56,3 cm., daté 150/225 EC. Cabinet des médailles de la Bnf : [57] et [58]. Voir aussi "Le luxe dans l'Antiquité : trésors de la Bibliothèque Nationale de France" (SUDOC 203084896), 2017, p.28-55, p.94-96, fig.5-6, n°66, p.249-253. « Il s'agit soit d'un imposant ex-voto soit d'une statue de culte. » Trésor de Berthouville (extrait du cartel)

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  • Kronos mithriaque sur le site du Louvre [64]. Tout cet ensemble d'originaux est en parfait état de conservation. Le lieu de la découverte est une grotte encore non identifiée, à Saïda. François El Bacha, « Un trésor du Liban au Louvre: Les statuettes cultuelles de Mithra originaires de Sidon », Libanews,‎ (lire en ligne, consulté le ).

louvre.fr

collections.louvre.fr

  • Le Tibre : Découvert en 1512 à Rome (Champ de Mars). La sculpture décorait sans doute une fontaine placée le long de l'allée menant au sanctuaire d'Isis et Sérapis. Elle était probablement placée en symétrie à la statue du Nil (aux musées du Vatican). Dans cette autre sculpture, une foule d'enfants pygmées ont pris la place de Romulus et Rémus. Référence, Louvre Collections [5]
  • Vase Borghèse : « Le Vase Borghèse : Triomphe de Bacchus au retour des Indes », sur BnF : Les essentiels (consulté le ). Louvre Collections : [6], similaire à celui découvert dans l'Épave de Mahdia, conservé au Musée du Bardo.
  • Tête colossale d'Antinoüs. Louvre, Collection [8]. Une mortaise au sommet de la tête, quatre gros trous et plusieurs petits pour la fixation d'une couronne métallique sont visibles ; les yeux évidés étaient incrustés. Cette tête était insérée dans un corps sculpté dans un matériau différent. H. 95 cm. : sans la partie qui s'insérait dans le buste.
  • Mithra sacrifiant le taureau : notice du musée [10] et Louvre Collections [11].
  • Portrait de Livie : Louvre Collection [15]
  • Kate de Kersauson et al., 1996, p. 14 : à propos des portraits de Lucius Verus, co-empereur de Marc-Aurèle de 161 à 169 EC, ses bustes dans les collections du Louvre : Lucius Verus "classicisant" [17] et "naturaliste" [18].
  • (en) « Exhibition: Three bronze portraits of Hadrian at the Louvre, Paris [Louvre : “Portraits en bronze de l’empereur Hadrien”] », sur Following Hadrien, (consulté le ). Notice de la tête en bronze, du Louvre, datée entre 125 et 150 EC : [26].
  • Louvre. Collections : Portrait d'homme âgé, dit « Postumius Albinus », vers 150 AEC [35].
  • Fiche du Louvre : [38]
  • De Gabiès (Louvre [41]), de Pergame : au musée d'Antalya.
  • Statuette d'Alexandre le Grand à la Lance, adaptation (époque lagide) d'une célèbre statue de Lysippe (4e quart IVe / IIIe siècle AEC) : Notice du Louvre [43]
  • Jérémy Seguin, « La « Diane chasseresse » au musée d’Aquitaine de Bordeaux », Revue des études anciennes,‎ (lire en ligne, consulté le ). Artémis Rospigliosi. Pergame IIe siècle AEC. Louvre Collections [46].
  • Notice du musée du Louvre [51]
  • Cadeau d'Henri Matisse à Albert Marquet : Fiche du Louvre Collections : [53].
  • « relief votif », sur Louvre. Collections (consulté le ).
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  • Louvre. Collections [62].
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  • Kronos mithriaque sur le site du Louvre [64]. Tout cet ensemble d'originaux est en parfait état de conservation. Le lieu de la découverte est une grotte encore non identifiée, à Saïda. François El Bacha, « Un trésor du Liban au Louvre: Les statuettes cultuelles de Mithra originaires de Sidon », Libanews,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Sarcophage à l'amazonomachie : Louvre, Collection [65].
  • Sarcophage : Phèdre et Hippolyte. Louvre, Collection [66].
  • Louvre Collections, [69].
  • Dominique Robcis, Sophie Descamps-Lequime, Nathalie Pingaud et Benoît Mille, « Dorure et redorure de la statuaire antique en bronze : une nouvelle lecture de l’Apollon de Lillebonne », Technè, no 45 « Bronzes grecs et romains : études récentes sur la statuaire antique »,‎ , p. 100-113 (lire en ligne, consulté le ). Fiche du Louvre : [73].
  • Harpocrate au pot: Harpocrate assis, doigt à la bouche, tunique, mèche de l'enfance, couronne pschent, double bourgeon, portant un pot. Référence [76].
  • Louvre. Collections : [77].
  • Louvre. Collections : [79]

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  • Harpocrate, Louvre : [59]

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  • Mithra sacrifiant le taureau : notice du musée [10] et Louvre Collections [11].

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  • Musée des beaux arts de Lyon , collections : [70].
  • Notice du musée [71].

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  • Notice du musée :[9] : Traduction « Il est représenté comme un jeune homme, vêtu d'une tunique courte aux plis abondants et d'un manteau noué à la taille, la tête ceinte d'un haut diadème de palmettes. Sur son bras gauche, il porte une corne d'abondance, symbole de fertilité et de richesse. Dans sa main droite, il porterait éventuellement un verre rituel. Il est représenté en mouvement, une attitude qui suggère un pas de danse ou un geste nécessaire à un acte du culte. Les Lares Compitales, à l'origine protecteurs des champs et des carrefours, sont devenus, depuis la réforme religieuse menée par Auguste, les divinités familiales et domestiques par excellence. Chaque maison avait son autel ou lararium dans l'atrium ou le péristyle, lieu où toute la famille faisait ses dévotions, quotidiennement. A la fin du IVe siècle, un édit de l'empereur Théodose interdit sa vénération. »

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  • (en) Notice du musée : [44].
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  • Isis-Aphrodite : notice du Met [60].
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  • Eutropia : notice du Musée d'Occitanie [45].

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  • Cet Hercule pourrait avoir été réalisé d'après un moulage relevé sur un bronze grec du IVe siècle AEC, très proche du style de Lysippe. (Ada Gabucci, 2005, p. 114,« Statue d'Hercule en bronze doré », sur Musei Capitolini (consulté le )).

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  • (en) « Gradiva », sur Musei vaticani : Chiaramonti Museum (consulté le ).
  • Osiris-Antinoüs . Notice du musée : [42].
  • Page du musée grégorien égyptien : [61]
  • « Sarcophages « à strigiles » », sur Musei Vaticani : Musée Pie chrétien (consulté le )

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  • Sylvie Joye, « Paterfamilias », Publications de l’École française de Rome « Ving-cinq ans après: III. Droits et identités :Identités – familles – masculinités... : les femmes au rendez-vous de l'histoire (colloque de 2016) »,‎ , p. 287-299 (lire en ligne, consulté le ) (édition papier : (ISBN 978-2-7283-1378-5) (SUDOC 241128064).
  • "Les sculptures de la fouille du parking Jean-Jaurès à Nîmes", Cécile Carrier, Renaud Robert et Danièle Terrer in Gaggadis-Robin et Picard, et al., 2016, p. 249-260 : [19].
  • Cette représentation, cuirassée, est contemporaine de celle en semi-nudité héroïque avec paludamentum retenu sur l’épaule gauche avec la fibule ronde. Cette dernière se situe dans la continuité de la tradition des images de Trajan. Référence : Simone Deyts et Jacques Meissonnier, in Gaggadis-Robin et Picard, et al., 2016, en ligne [24], paragraphe 20.
  • Jean-Charles Balty, in Gaggadis-Robin et Picard, et al., 2016 : 1. Le Pseudo-César dans « Le « César » d’Arles et le portrait des consuls de l’année 46 av. J.-C. » [28].
  • Sur le buste du Rhône, dans Gaggadis-Robin et Picard, (et al.), 2016 les articles de : Luc Long [29] ainsi que Jean-Charles Balty [30], Emmanuelle Rosso [31], Lorenz E. Baumer [32] et Mario Denti [33]. Voir aussi la documentation iconographique, avec trois angles de vue sur le Type Tusculum dans (it) Niccolò Chiesa, « Cesare e i suoi ritratti », sur Latinoamilano, (consulté le ).
  • Ce portrait aurait été réalisé sous le règne d'Auguste, dans les années 30-20 AEC, et il est « incontestablement idéalisé et classicisant » selon Jean-Charles Balty, dans Gaggadis-Robin et Picard, (et al.), 2016 [34], p. 44.
  • Jean-Charles Balty dans Gaggadis-Robin et Picard, (et al.), 2016 [36], p. 40.
  • Martin Galinier, « Franchir le seuil : l’exposition d’« images » à Rome, ou la moralité entre espaces publics et domestiques », dans Susana Marcos (dir.) - Journées d'études, septembre 2015, Entre espace public et espace privé : les élites [romaines] en représentation, Presses Universitaires de Perpignan, (ISBN 978-2-35412-307-9, SUDOC 230462847, lire en ligne), p. 25-43.
  • Pascal Capus, "Un Jupiter à l'aigle provenant d'Avignonet-Lauragais" in Gaggadis-Robin et Picard, et al., 2016, p. 319-329 : [47].
  • Caroline Michel d’Annoville, « L’étrange portrait de Forcalquier : une œuvre de l’Antiquité tardive et du haut Moyen Âge ? » in : Gaggadis-Robin et Picard, 2016, p. 157-166 [48]
  • Jean-Noël Castorio in Gaggadis-Robin et Picard, et al., 2016, p. 367-376 et [54].
  • Marie-Christine Budischovsky, « D’une culture à l’autre : l’acclimatation des « animaux sacrés » d’Égypte dans les temples isiaques de Rome », dans Marianne Besseyre, Pierre-Yves Le Pogam et Florian Meunier (dir.), L'animal symbole, Paris, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, (SUDOC 236939408, lire en ligne), p. 1-19
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  • Hadrien cuirassé. « Tradition ou innovation ? Un empereur romain représenté par un artiste grec ? » : Sandrine Bernardeau, 2022, sur Panorama de l'Art [27]

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  • L'ascia, qui a la forme d'une herminette marteau, est figurée sur les tombes d'époque romaine. Paul-Marie Duval, « L'« ascia ». 1. Typologie de l'« ascia», herminette marteau », Publications de l'École Française de Rome, no 116,‎ , p. 487-494 (lire en ligne, consulté le ).
  • Fortuna provenant du fronton d'un temple de la Via di San Gregorio à Rome. « La déesse (Fortuna) drapée dans un manteau est assise sur un autel et porte le diadème. Elle se retourne en direction d'un personnage cuirassé dans lequel il faut probablement reconnaître Mars. » : Renaud Robert, « Les funérailles macédoniennes et le triomphe de Paul-Émile », Mélanges de l'école française de Rome,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Sur l'usage de tuf volcanique (dans la construction de bâtiments publics et privés) et de travertin (pour la sculpture) par les Romains : Pierre Bedon, « La pierre et les carrières de l'Occident romain dans les textes antiques », Supplément à la Revue archéologique du centre de la France,‎ , p. 49-59 (lire en ligne, consulté le ).
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  • Ce vase est constitué de deux vases, l'un dans l'autre, séparés par des entretoises à pieds adoucis. La fine résille polychrome externe a été taillée dans la masse de cette enveloppe externe. (« RGM Römisch-Germanisches Museum », sur Romano-Germanic Museum (consulté le )).

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  • Marine Benoît, « Une rarissime sculpture de bois de l'époque romaine déterrée au Royaume-Uni », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).

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  • Selon la restitution motivée de Vinzenz Brinkmann : (en) Jamie Katz, « Bringing the Color Back to Ancient Greece », Smithsonian Magazine,‎ 2012 novembre (lire en ligne, consulté le ).

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  • La valeur attribuée à l'image produite par contact, selon la tradition en usage au sein des élites romaines, pourrait être rapprochée d'une forme d'animisme. Georges Didi-Huberman, La Ressemblance par contact, Éditions de Minuit, (ISBN 978-2-7073-2036-0, SUDOC 123251206) (sommaire détaillé : [1]).
  • Valérie Huet, « L'art de Rome : l'héritage des Étrusques et du monde hellénique », dans Claude Frontisi (dir.), Histoire visuelle de l'Art, Larousse, (ISBN 2-03-509307-4, SUDOC 05975155X), p. 50. Par contre, la célèbre Louve du Capitole, n'est plus considérée comme un bronze étrusque mais elle date du Moyen Âge, entre le XIe et le XIIe siècle. Voir le chapitre de l'article : Louve du Capitole : Analyses modernes (XXIe siècle).
  • Oeuvre romaine qui s’inspirerait d’un original de Praxitèle, dans la postérité de l’Aphrodite de Cnide (Sculpture grecque classique#Second classicisme (370-338)). Son attitude semble, ici, plus clairemenbt que pour l'Aphrodite de Cnide, « une réaction de pudeur. L’érotisation de l’image, déjà présente dans l'Aphrodite de Cnide, est fortement raccentuée et se fait plus terrestre : le volume des seins est plus abondant, comme l’ensemble de la représentation s’enveloppe de chairs plus riches. » : Alain Pasquier in Alain Pasquier et Jean-Luc Martinez, dir., Praxitèle, Musée du Louvre, Somogy Editions d'Art, coll. « catalogue », , 456 p., 30 cm (ISBN 2-7572-0047-X, SUDOC 244722080)
  • Sarcophage des Époux : Les déphunts sont représentés dans une « imago clipeata ». La femme pose la main sur l'épaule de son époux : cette image de l'harmonie conjougale est de tradition dans la sculpture funéraire romaine. Les 16 scènes, réduites à des stéréotypes simples, sont placées sans transition, les unes contre les autres. Elles sont tirées de l'Ancien comme du Nouveau Testament. Référence: Alain Charron, Fabrice Denise, David Djaoui et al., Une si proche Antiquité : Guide des collections, Musée départemental Arles antique, (ISBN 978-2-916504-10-0, SUDOC 235719013), p. 93
  • Pan et la chèvre : Pan s’accouplant avec une chèvre, sculpture romaine (vers 45-68 EC). Les groupes érotiques appartiennent au décor habituel des jardins romains. Ces statues pourraient même témoigner — pour les figures d'Hermaphrodite ou de Pan zoophile — d'une interprétation romaine de l'art hellénistique. (François Queyrel, La sculpture hellénistique. Formes, thèmes et fonctions, t. 1, Picard, , 427 p., 29 cm (ISBN 978-2-7084-1007-7, SUDOC 192160273))
  • Paul Veyne, L'empire gréco-romain, Seuil, coll. « Des Travaux », , 874 p., 21 cm (ISBN 2-02-057798-4, SUDOC 092673007), p. 4e de couverture. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article, (SUDOC 124342531), (SUDOC 099215195), (SUDOC 159201322). Numériques: (SUDOC 196389704), (SUDOC 271098139).
  • Sylvie Joye, « Paterfamilias », Publications de l’École française de Rome « Ving-cinq ans après: III. Droits et identités :Identités – familles – masculinités... : les femmes au rendez-vous de l'histoire (colloque de 2016) »,‎ , p. 287-299 (lire en ligne, consulté le ) (édition papier : (ISBN 978-2-7283-1378-5) (SUDOC 241128064).
  • Tonio Hölscher, La vie des images grecques : Sociétés de statues, rôles des artistes et notions esthétiques dans l'art grec ancien, Hazan : Louvre Éditions : La chaire du Louvre, (ISBN 978-2-7541-0841-6, SUDOC 187241910), p. 25-31
  • Tonio Hölscher (de) cité par Gilles Sauron, « Les Romains et l'art », dans Hervé Inglebert, dir., Histoiure de la civilisation romaine, Nouvelle Clio, (ISBN 978-2-13-050659-1 et 2-13-050659-3, SUDOC 08565681X), p. 235 et numérique (SUDOC 189212128) 2015.
  • Alain Pasquier et Jean-Luc Martinez, dir., Praxitèle, Musée du Louvre, Somogy Editions d'Art, coll. « catalogue », , 456 p., 30 cm (ISBN 2-7572-0047-X, SUDOC 244722080), p. 134-139
  • Bernard Holtzmann, La sculpture grecque : Une introduction, Paris, Librairie Générale Française, coll. « Le Livre de Poche », , 446 p., 18 cm (ISBN 978-2-253-90599-8, SUDOC 147449987), p. 350
  • Alexandra Dardenay, « Rome, les Romains et l’art grec : translatio, interpretatio, imitatio, aemulatio », dans études réunies par Corinne Bonnet et Florence Bouchet, "Translatio" : traduire et adapter les Anciens, Classiques Garnier, (ISBN 978-2-8124-0860-1, SUDOC 171779282, lire en ligne), p. 119.
  • Marie-Laurence Haack, À la découverte des Étrusques, La Découverte, (réimpr. 2023) (ISBN 978-2-35925-149-4, SUDOC 257099271, lire en ligne), p. 332 à 349, « L’art des Étrusques ».
  • Martin Galinier, « Franchir le seuil : l’exposition d’« images » à Rome, ou la moralité entre espaces publics et domestiques », dans Susana Marcos (dir.) - Journées d'études, septembre 2015, Entre espace public et espace privé : les élites [romaines] en représentation, Presses Universitaires de Perpignan, (ISBN 978-2-35412-307-9, SUDOC 230462847, lire en ligne), p. 25-43.
  • Julius von Schlosser (trad. Édouard Pommier et Valérie Levot, postface Thomas Medicus), Histoire du portrait en cire (et « Des portraits d'ancètres chez les Romains » par G. E. Lessing, Macula, 1997 (paru en 1911), 234 p., 24 cm (ISBN 2-86589-053-8, SUDOC 004178610), p. 15-32 et 221-223.
  • Stéphane Benoist, « La cérémonie de consecratio : IIe-IIIe siècles après notre ère », dans Rome, le prince et la Cité : Pouvoir impérial et cérémonies publiques (Ier siècle av. - début du IVe siècle apr. J.-C.), PUF, (ISBN 9782130539094, SUDOC 084721286, lire en ligne), p. 147 à 188, texte intégral en ligne (SUDOC 185963846).
  • (en) Rosemary Barrow, « 7- The Incongruous Body: Portrait of ‘Marcia Furnilla’ as Venus », dans Rosemary Barrow, Gender, Identity and the Body in Greek and Roman Sculpture, Cambridge University Press, (ISBN 1-107-03954-1, SUDOC 231954778, lire en ligne).
  • Claire Sotinel et Catherine Virlouvet (dir.), Rome, la fin d'un empire : 212-fin du Ve siècle, Belin, , 688 p., 24 cm. (ISBN 978-2701164977, SUDOC 240558278), p. 94.
  • Maria-Pia Darblade-Audoin et Henri Lavagne (dir.), Nouvel Espérandieu : Tome II – Lyon (Rhône) : recueil général des sculptures sur pierre de la Gaule, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 204 p., 28 cm (ISBN 2-87754-162-2, SUDOC 111206340), p. 238 (n° 485)
  • Nicolas Bel, « Jupiter Héliopolitain », coll. Solo, Paris, musée du Louvre éditions/ Somogy éditions d’art, 2012, (SUDOC 166166278).
  • Tiphaine Moreau et Géraud Vaughan, 100 fiches d'histoire romaine, Bréal, (réimpr. 2013 et 2018) (ISBN 978-2-7495-3066-6, SUDOC 155322702), p. 254-257, (SUDOC 171512472), (SUDOC 232534012), numérique: (SUDOC 274100754).
  • "Mercure tenant le caducée", d'époque gallo-romaine. Argent presque pur, H. 56,3 cm., daté 150/225 EC. Cabinet des médailles de la Bnf : [57] et [58]. Voir aussi "Le luxe dans l'Antiquité : trésors de la Bibliothèque Nationale de France" (SUDOC 203084896), 2017, p.28-55, p.94-96, fig.5-6, n°66, p.249-253. « Il s'agit soit d'un imposant ex-voto soit d'une statue de culte. » Trésor de Berthouville (extrait du cartel)
  • Marie-Christine Budischovsky, « D’une culture à l’autre : l’acclimatation des « animaux sacrés » d’Égypte dans les temples isiaques de Rome », dans Marianne Besseyre, Pierre-Yves Le Pogam et Florian Meunier (dir.), L'animal symbole, Paris, Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, (SUDOC 236939408, lire en ligne), p. 1-19
  • Katherine Welch, "Roman Sculpture", dans « The Oxford History of Western Art » (Oxford University Press, 2000), p. 51 (SUDOC 055654606) et (SUDOC 055654606); et Linda Maria Gigante, "Funerary art", dans « The Oxford Encyclopedia of Ancient Greece and Rome » (Oxford University Press, 2010), pp. 250-251. (SUDOC 142891762) texte, et (SUDOC 149696310) numérique.
  • Gilles Sauron, Les décors privés des Romains : dans l'intimité des maîtres du monde : IIe Siècle Av. J.-c.-IIIe Siècle, Picard, , 303 p., 34 cm (ISBN 978-2-7084-0837-1 et 2-7084-0837-2, SUDOC 137724241), p. 71 et suivantes
  • Cette précision identifiant les « copies » est due aux recherches de Gisela Richter, Margarete Bieber et Brunilde Ridgway. (en) Brunilde S. Ridgway (ed.) et al., Greek sculpture in the Art Museum, Princeton University : Greek originals, Roman copies and variants, Princeton : The Art Museum, , 131 p., 29 cm. (ISBN 0-943012-17-1, SUDOC 019159269).
  • Cette question de copies sans originaux, dans le domaine de la sculpture, a été relevée par Rosalind Krauss, mais à propos de sculptures attribuées à Rodin et vendues au Metropolitan Museum : Rosalind Krauss (trad. Jean-Pierre Criqui), L’originalité de l’avant-garde et autres mythes modernistes, Éditions Macula, (1re éd. 1985) (ISBN 978-2-86589-038-5, SUDOC 002998610), p. 150-176. "Sincèrement vôtre" : Rodin et la question de la reproduction".
  • Pierre Arizzoli-Clémentel, Claude Vandalle, Anne L. Poulet ...[commissariat] et al., Houdon 1741-1828 : sculpteur des Lumières, RMN, (ISBN 2-7118-4739-X, SUDOC 077655427), p. 33, 97, 223, 275. Aussi: Malcolm Baker et al., « Portraits sculptés all antica », dans Sébastien Allard, Robert Rosenblum, Guilhem Scherf..., Portraits publics, portraits privés, 1770-1830, RMN, (ISBN 2-7118-5031-5, SUDOC 110304225), p. 256-281.
  • Julie Bawin, Art public & controverses : XIXe-XXIe siècle, CNRS Editions, (ISBN 978-2-271-15000-4, SUDOC 276672801) et Julie Bawin et Mathieu Mercier avec Sylvain Bourmeau, « L’art public pris dans la controverse », sur France Culture : La suite dans les idées, à 11:05/50:57, (consulté le ).

toulouse.fr

villachiragan.saintraymond.toulouse.fr

unimi.it

sites.unimi.it

universalis.fr

  • selon Gilles Sauron, « Le pseudo-Brutus pourrait être l'image d'un ancêtre d'une grande famille romaine du milieu de la République. » : Gilles Sauron, « Tête dite de Brutus », sur Encyclopædia Universalis (consulté le ).
  • « Art néo-attique (Rome) », sur Encyclopaedia Universalis.fr (consulté le ).

villa-rabelais.fr

  • Vie quotidienne sur bas-relief : par exemple cette scène de taverne d'Augusta Treverorum (Trèves) : [14] « III. La caupona (taverne) : manger sur le pouce », sur Lugdunum (musée), exposition Une salade, César, 2021.

wbur.org

wikimedia.org

commons.wikimedia.org

  • Héra de type Borghèse, "omplète", aux musées du Vatican : [13].

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Minerve casquée tenant une petite chouette. Le corps en onyx est une copie du type de l'Héra Borghèse (en) ; la statue a été restaurée en Minerve par l'ajout d'une tête et de bras en marbre.
  • Matisse : voir le « Portrait de Madame Matisse » de 1913 [80].

de.wikipedia.org

wikisource.org

fr.wikisource.org

  • Pline l'Ancien (trad. Émile Littré), Histoire Naturelle : livre XXXV, (XLIV), Wikisource (lire en ligne).
  • Pline l'Ancien, "Histoire naturelle" XXXV, [39], paragraphe 6. Le portrait en pied de Thémistocle, réalisé en « vraie grandeur », est daté vers 460 AEC. Il n'en reste que le buste, copié à lépoque romaine.

wiktionary.org

fr.wiktionary.org

  • Aby Warburg appelle cette formule gestuelle antique, ici expressive d'une vie sensible, une Pathosformel, une « formule de pathos », où « pathos » peut avoir le sens de « passion » ou d' « émotion ».