Shōtoku (prince) (French Wikipedia)

Analysis of information sources in references of the Wikipedia article "Shōtoku (prince)" in French language version.

refsWebsite
Global rank French rank
low place
low place
649th place
238th place
441st place
1,611th place
3rd place
11th place
8,416th place
low place
low place
low place

boj.or.jp

books.google.com

  • Kanzawa Teikan, Okinagusa en plusieurs volumes, première édition en 1886, réédité en 1906 par Ikebe Yoshikata, difficile à se procurer : « Okinagusa, Kanzawa Teikan », sur catalog.hathitrust.org (consulté le ); voir la page de couverture d'un des volumes sur books.google [1]. Consulté le .

hathitrust.org

catalog.hathitrust.org

  • Kanzawa Teikan, Okinagusa en plusieurs volumes, première édition en 1886, réédité en 1906 par Ikebe Yoshikata, difficile à se procurer : « Okinagusa, Kanzawa Teikan », sur catalog.hathitrust.org (consulté le ); voir la page de couverture d'un des volumes sur books.google [1]. Consulté le .

touhou-online.net

wiki.touhou-online.net

wikipedia.org

en.wikipedia.org

  • Laurence Binyon (en) (1869-1943), qui était à la fois poète et conservateur du département des estampes du British Museum, a rédigé à ce titre un catalogue en 4 volumes, des estampes chinoises et japonaises. Dans l'ouvrage mentionné (voir infra: "Sources"), il précise, à propos de cette reproduction sur bois: « L'auteur de ce portrait est inconnu; il est généralement considéré comme étant l'œuvre d'un artiste coréen, mais il s'agit très probablement d'une main indigène (c'est-à-dire japonaise).» (Painting in the Far East: An Introduction ... ), p.85.

wiktionary.org

fr.wiktionary.org

  • Laurence Binyon (en) (1869-1943), qui était à la fois poète et conservateur du département des estampes du British Museum, a rédigé à ce titre un catalogue en 4 volumes, des estampes chinoises et japonaises. Dans l'ouvrage mentionné (voir infra: "Sources"), il précise, à propos de cette reproduction sur bois: « L'auteur de ce portrait est inconnu; il est généralement considéré comme étant l'œuvre d'un artiste coréen, mais il s'agit très probablement d'une main indigène (c'est-à-dire japonaise).» (Painting in the Far East: An Introduction ... ), p.85.