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« "Valéry Giscard d'Estaing à la chasse à l'éléphant" : la chronique de Bernard Pivot », sur Le JDD, : « Quand Valéry Giscard d'Estaing a publié son premier roman Le Passage, en 1994, la critique a moqué sa tardive ambition littéraire et l'œuvre indigente qu'elle avait produite. Si sa lecture m'avait également déçu, pour ne pas dire consterné, je voyais plutôt dans l'acte téméraire de l'ex‑président un accès de modestie, peut-être même d'humilité. »
« « L'année 1955 sera consacrée à la réduction des coûts de production », déclare M. Favre à l'issue d'une séance du « comité restreint » de libération des échanges », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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« M. Giscard d'Estaing précise les conditions dans lesquelles les républicains indépendants participent au « comité de liaison » de la majorité », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« M. Pompidou insiste sur la vocation nationale de M. Giscard d'Estaing », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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« M. Giscard d'Estaing effectue une visite-surprise des prisons Saint-Paul et Saint-Joseph à Lyon », Le Monde, (lire en ligne)
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Michel Ternisien et Michel Tudel, « De 1974 à 2011, l'indiscipline budgétaire a conduit la France à s'endetter », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« Les « autonomes » avaient entreposé des cocktails Molotov dans les consignes automatiques de la gare de l'Est », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« Les suites du « 23 mars » : M. Defferre retire une plainte en diffamation déposée en 1979 contre la C.G.T. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« Le précédent de Creys-Malville, en 1977 », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
Christine Fauvet-Mycia, « Le retour précipité de M. Giscard d'Estaing complique le débat sur les structures de l'U.D.F », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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Llibert Tarrago, « "Giscard à l'Élysée !" », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« L'UDC s'incline devant la force de dissuasion du RPR », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« "Je ne suis pas candidat à l'Élysée" », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
« La rupture entre M. Barre et M. Giscard d'Estaing », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
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Propos recueillis par Manuel Armand, « Valéry Giscard d'Estaing: "L'Auvergne, un attachement génétique, pas politique!" », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
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Nicole Gauthier, « UDF : Giscard poussé vers la retraite. Léotard et Bayrou font campagne commune pour le conseil national », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
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Évolution du parc de lignes téléphoniques commutées en France, de 1888 à 1983, Histoire des télécommunications françaises à partir des fonds d'archives des Télécommunications, par Claude Rizzo-Vignaud, juillet 2015. [1]
Ouvrir la « Page d’accueil », sur polytechnique.edu, Palaiseau, bibliothèque de l’École polytechnique (consulté le ), sélectionner l’onglet « Catalogues » puis cliquer sur « Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Valéry Giscard d'Estaing », résultat obtenu : « Giscard d’Estaing, Valéry René Marie Georges (X 1944) ».
Serge July, « L'autre secret de Mitterrand : la chance », sur rtl.fr, (consulté le ) : « En 1981, la chance [pour François Mitterrand] s'appelait Jacques Chirac. La tactique suicidaire du PCF d'un côté et l'existence d'une fracture à droite, c'était une configuration de rêve. Sans la campagne anti-giscardienne de Jacques Chirac, François Mitterrand n'aurait pas été élu. Le dirigeant du RPR pense se débarrasser de Giscard en le faisant battre et il ne donne pas cher de la présidence Mitterrand et à ses ministres communistes, qui sont condamnés à très court terme. Le leader socialiste n'oubliait jamais de répéter que la droite était majoritaire en France, et que pour gagner il fallait utiliser autant que possible ses divisions, et ne pas mettre tout le monde dans le même panier. ».