(en) Gordon Hall-Gerould, IV. Criticisms and Interpretations : in : The History of Tom Jones, Introduction, New York, P.F. Collier & Son, coll. « The Harvard Classics Shelf of Fiction », (lire en ligne).
(en) Diana Winsor, Ralph Allen : Builder of Bath, Leominster, Herefordshire, Orphans Press Ltd, , 160 p. (ISBN978-0-9559541-6-0, lire en ligne), p. 72.
John Edwin Wells, « Henry Fielding and the History of Charles XII », The Journal of English and Germanic Philology, vol. 11, no 4, , p. 603–613 (ISSN0363-6941, lire en ligne, consulté le ).
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(en) Rictor Norton, chap. 3 « The Fight Against Crime : The Reformation of Manners & The Fielding Brothers », dans The Georgian underworld : A Study of Criminal Subcultures in Eighteenth-Century England, (lire en ligne).
Le Black Act est une loi du Parlement de Grande-Bretagne votée en 1723 pendant le règne de George Ier pour répondre aux braconniers de Waltham Chase et à un groupe de bandits nommé « Wokingham Blacks ». Avec cette loi est considéré comme felony (c'est-à-dire passible de pendaison) le fait d'apparaître armé dans un parc ou bien de chasser ou voler des cervidés en étant déguisé ou en ayant le visage noirci (blackened'). Cette loi fut ensuite modifiée pour toucher également les personnes agissant en dehors des forêts et terrains de chasse royaux, devenant par la même un complément brutal au Riot Act de 1715 autorisant les autorités locales à déclarer hors-la-loi tout rassemblement de plus de douze personnes.