Pascal Griolet et Keiko Kosugi, « L'écriture japonaise », sur essentiels.bnf.fr, BnF (consulté le ).
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Nouhet-Roseman 2010, § 25 : « Dans les mangas pour filles dans lesquels circulent beaucoup d’émotions, les onomatopées sont souvent écrites en hiragana, les signes d’un autre syllabaire japonais dont le graphisme est très sinueux. »
ccfjt.com
C.Y., « Un trio héroïque », sur ccfjt.com, (consulté le ) : « retranscription moderne des hiragana et des katakana en lettres latines ».
Philippe Mesmer, « Apprendre le japonais grâce au mot “caca” », sur lemonde.fr, (consulté le ) : « pour tenter de retenir le plus compliqué des kanjis enseignés, […], un caractère composé de 29 traits ».
Sophie Daste, « Le phénomène Hatsune Miku : assomption d’une idole virtuelle », sur popenstock.ca, (consulté le ) : « Le prénom Miku, dans le cas de l’idole virtuelle, est écrit avec l’alphabet katakana, usuellement réservé aux transcriptions de mots étrangers, ミク ».
Sophie Daste, « Le phénomène Hatsune Miku : assomption d’une idole virtuelle », sur popenstock.ca, (consulté le ) : « Le prénom Miku, dans le cas de l’idole virtuelle, est écrit avec l’alphabet katakana, usuellement réservé aux transcriptions de mots étrangers, ミク ».